Messages : 374 Date d'inscription : 14/04/2020 pièces d'or : 1470 Ombre : cosima, adeyinka Peuple : Hybride Soupirs : 29 ans. L’âge est à la colère, à la rage sans limite. Au changement et au renouveau. Maîtrise : runes (niveau 1), lyrium (niveau 1), armes blanches (niveau 3), armes à feu (niveau1), défense (niveau 3), corps à corps (niveau 2) Affect : Célibataire & Pansexuelle. Les yeux curieux de la brune ont toujours été attirés par des personnalités plutôt que par un genre. Un intérêt qui va bien au-delà des formes. Un intérêt qu’elle sait devoir garder secret, comme tant d’autres aspects de sa personnalité. Métier : Marieuse De ses mensonges sont nés ses privilèges. Elle qui un jour ne fut rien, voyage désormais dans tous territoires, rencontre les grands de ce monde et fabrique des alliances Faction : Ad Astra comme gravé dans la chair. Une dévotion sans limite pour l’ordre auquel elle appartient. Gang : / Errance : Pour le bien de son alliance. Elle va, papillonne de lieu en lieu, de famille en famille. Il n’existe qu’un seul endroit où elle revient toujours. La cour des étoiles. à Lunaris. Inventaire : une dague adenoise, une stèle Crédits : shadow
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| | | le fardeau du marionnettiste Il existe des marionnettistes si talentueux, que même la marionnette ne réalise pas qu'elle est manipulée |
Autour d’elle c’est l’effervescence. Une foule qui bouillonne d’activité, des murmures surexcités venant rebondir sur chaque des murs. Pas de surprise pour Namira. Un mariage, elle l’a appris, est toujours une occasion joyeuse. Et ce même lorsque l’amour n’est pas un invité de marque à la cérémonie. Alors quand il s’agit de marier le fils Havilliard. L’excitation évidemment est à son comble. Pour Namira ce n’est qu’un évènement de plus en préparation. Là où les autres voient le futur et la grandeur, elle ne voit que d’avantage de travail, de responsabilité. Elle n’a jamais été très romantique la brune, réalisant qu’un tel sentiment était exclu lorsqu’il s’agissait de mentir sur sa nature à vie, à quiconque partagerait sa vie. Mais travailler en tant que marieuse à annihilé tout vestige du sentiment qui avait pu demeurer en son cœur. Parce que l’amour, le vrai, est si rare à trouver. Pour la plupart des grands il s’agit de nouer des chaines de plombs autour de leurs poignets plutôt que de s’allier pour l’éternité. Pour beaucoup des moyens, il est question de désir, d’envie et de ce qu’ils pensent voir chez l’autre plutôt que ce qu’ils connaissent réellement.
Les mariages d’amour, les vrais, auxquels elle a participé, elle peut les compter sur les doigts d’une main. Et c’est peut-être suffisant pour décider de ne jamais se marier. Mais qu’importe, la préoccupation n’est pas la sienne. Si elle doit s’inquiéter pour quelque chose Namira, s’est pour s’assurer que tout se déroule parfaitement durant les prochains mois. Après tout elle n’a pas passé de si longues semaines à trouver la parfaite fiancée pour voir tout son travail s’écrouler. Elle surveillera Orion autant qu’elle surveillera Lucrezia. Tout doit parfaitement se dérouler. Parce que la fiancée n’est pas seulement parfaite pour Orion, elle est aussi parfaite pour Ad Astra. Son secret comme lové dans la paume de Namira, les fils de la marionnette délicatement placés entre ses doigts.
Et c’est d’ailleurs pour la blonde, que Namira est présente. Un rendez-vous de routine comme elle lui a présenté la situation. En vérité une façon de s’assurer que tout se déroule bien, de jouer le rôle de confidente qu’elle s’est impartie, prétendant vouloir l’aider et la réconforter. La vérité est bien sûr autre, et même si elle considère l’aider lorsqu’elle écoute ses doutes et ses incertitudes, Namira n’oublie jamais. Elle fait tout cela pour Ad Astra. Lorsqu’elle entre dans la pièce, sorte de boudoir, plutôt que de bureau, son regard se pose directement sur la silhouette de Lucrezia. La blonde est diaphane, aussi jolie qu’une œuvre d’art dans la lumière tamisée. Le regard est critique, Namira voit pour l’infante une arme de plus, une qu’elle sait sans nul doute utiliser.
Les yeux sombres se font doux, et les lèvres se courbent en une moue presque tendre. « Lucrezia. C’est un plaisir de te voir. » L’embrassade est rapide mais elle est y met tous les sentiments de douceur et d’attention qu’elle peut trouver dans son cœur. Elle imagine le visage de Nesta à la place des traits blonds et le mensonge devient aussi facile que de respirer. La tête penchée sur le côté, l’image même de l’innocence et du réconfort. « Je voulais juste savoir si tout va bien pour toi. Et comment je pouvais t’aider. J’imagine que tout ne doit pas être facile en ce moment. Sache simplement que je suis là. » Bourreau prenant l’image de l’ange gardien. Elle fait ce qui doit être fait.
CODAGE PAR AMATIS AVATARS PAR Valruna et loudsilence |
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