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2 résultats trouvés pour cédursurportable


posté par Nezha el-Hadid dans anciens rp

La gouaille au bord des lèvres, une insolence mordante dans le regard ; elle est mauvais présage, promesse d'une illégalité que l'on attend, sans jamais pouvoir prévoir l'instant précis où elle viendrait s'inviter au crime. Pirate ; impératrice sur les mers, trop forcée de singer la même aisance lorsque c'était sur l'intérieur du continent qu'elle venait poser le pas. Les rivages, trop lointains pour qu'elle ne puisse véritablement trouver de paix, l'étreinte familière des embruns dérobée à son contact ; qu'importait, pourtant — c'était l'opportunité qui l'avait dérobée vers Zeherim, un appât du gain qui imprégnait les crocs. Délectée de l'idée d'être , lorsqu'ils étaient tous à Nythsari ; la capitale des hommes, débarrassée de ses protecteurs incarnat, porte ouverte à tous les crimes qu'elle pourrait perpétrer dans leur dos — et c'était là quelque chose d’euphorisant, la gifle d'une adrénaline réjouie dans les veines, alors que c'est d'une démarche souple qu'elle avance, l’œil affûté sur les étals. Nul objectif, si ce n'était de se remplir les poches ; nul désir, si ce n'était de dévoyer la capitale de chaos, offense non dissimulée à la face de l'uniforme qu'elle méprisait de tout instant — non parce qu'ils étaient humains, mais représentants d'une autorité qu'elle se complaisait tant à ridiculiser, criminelle intangible sur laquelle ils n'avaient su refermer le poing. Jamais capable de rien, si ce n'était de prendre ; et la violence, comme seule religion à avoir jamais compté, alors même que des vagues belligérantes viennent frapper dans ses veines en flux et reflux vibrant.
La collision d'un corps, pourtant, qui vient ébranler un temps son errance conquérante ; et c'est un regard bordé de mépris qu'elle assène à la fae qui titube, sans jamais se fendre d'une main bienfaitrice pour aider à la stabiliser. Les doigts glissent vers ses poches, pourtant ; en reviennent bredouilles, toute bourse trop bien cachée pour qu'elle ne la dérobe, sa tentative suffisamment discrète, pourtant, pour qu'elle ne remarque rien, la fae maladroite. @Victoria Valois ; de ces créatures bordées de satin qui n'avaient jamais crevé de faim dans la rue, famille traîtresse à leur genre. Ils étaient de ceux qui avaient tout, les Magistères ; des regards qui se détournaient sans plus d'attention lorsque des gosses faméliques tombaient de pauvreté dans la crasse des quartiers les plus malfamés. De l'enfance, n'avait subsisté qu'une rancoeur sourde à l'égard des plus riches, souverains qui pensaient l'ériger pion sur leurs échiquiers ; et la conviction que rien n'était jamais mérité, que tout devait toujours être dérobé. Un rictus suintant d'ironie, et elle vient lisser ironiquement le lin durci du sel des embruns de sa chemise crasseuse, comme pour balayer toute trace de la collision. 'De nouvelles godasses serviront pas à grand chose si t'es pas capable de regarder où tu mets les pieds, princesse.' Le dernier mot est presque craché, comme une insulte ; et elle se fend d'un clin d’œil moqueur, renfonce son chapeau déformé sur ses traits, une dissimulation légère de la ligne de ses oreilles aux regards. Et les mains enfoncées dans les poches, elle se détourne, sans plus un regard vers la Valois, l'iris expert en quête d'une dérobade à signer de sa main, pie voleuse trop avide d'une richesse qui ne serait pas sienne.


Citation :
— est venue à zeherim parce que toute l'armée rouge est à oceara.
— erre entre les étals avec l'intention de piquer plein de trucs et de faire les poches des gens.
— est percutée par @victoria valois, dont elle tente sans succès de faire les poches (###) et se débarrasse sans politesse (pardon beauté pardon pardon)(que quelqu'un vienne aider vico sivouplé elle le mérite).
— dans le mood de se fighter avec des gens (cc @miraz ravenal).

nb: je pars en congés sans pc jusqu'au 8.07, donc je serai moins rapide dans les réponses (#cédursurportable)

13 réponses | 733 vues
Mer 1 Juil - 14:35

posté par Elhara Ravenal dans anciens rp

Aveuglée, par l'éclat presque surréel des lustres ; égarée, dans la masse mouvante des invités — et pourtant, elle s'avance, sourde aux mots échappés aux lèvres de l'impératrice, l'attention toute dévouée à la quête, iris courant sur la foule. Seulement deux visages, qu'elle guette parmi les anonymes ; le familier d'un regard, l'écho d'une posture, le souvenir de traits dissimulés sous les masques. Il avait suffi d'une rumeur ; et qu'avaient importé, alors, les épaules éreintées d'épuisement, morcelées de deuil — la simple idée qu'ils puissent être là avaient été élan contre toute raison. Zeherim, quittée un temps par devoir ; une errance acceptée vers des terres plus lointaines, quelques jours de voyage forcés par une convention médicale, comme une opportunité de retrouver des alliés — de quoi s'offrir le luxe de croiser Basil, loin des regards familiers de Zeherim, dans leur quête opposée au monde. Et le nom, qui avait frappé, sonné comme un glas ; de Villiers, patronyme jeté dans les flammes, honni avec vigueur — comme une promesse pourtant, et il n'avait fallu que la spontanéité de l'inconscience pour s'inviter à l’événement. L'anonymat, garanti par la conviction que tout n'était là que fausseté, paillettes et tromperie jetées à la face du prochain, une dissimulation des torts sous des masques qui n'avaient jamais été les élégants loups venus couvrir leurs yeux ; l'univers avait été sien, avant — cosme de mensonges où naviguer avec innocence, gamine façonnée à la vie mondaine par les ambitions du père, une arme entre ses mains. Tout ce qu'elle n'avait su voir, alors, vient frapper sans ménagement à la face — du calcul d'une révérence à la grâce d'un sourire vénéneux, elle n'était pas de ce nombre, n'était pas de ces gens, ne l'était plus ; et pourtant, c'était sans plus de ménagement qu'elle en abattait les cartes pour servir sa cause. Il n'en serait pas un, pour soupçonner Elhara de Villiers, naïve oie blanche aux costumes sages dont ils avaient tant joué de la crédulité, dans la décadence de soie grenat qui la parait, comme la plus élégante des tromperies. A qui viendrait le demander, c'était le nom d'une lointaine cousine qu'elle offrait ; qu'importait — il n'était, à Adenor, pas un seul être, si ce n'était le sang, pour seulement connaître l'esquisse de ses traits. Un loup incarnat et une pluie de rubis pour achever de grimer celle qu'elle ne serait jamais ; c'était toujours le noir du deuil qu'elle portait en linceul dans l'âme, un néant du cœur que nul temps ne viendrait jamais combler. 
Les doigts se referment sur une coupe de champagne, dans laquelle elle ne vient porter les lèvres ; un bref sourire, adressé comme une tromperie à un anonyme, avant qu'elle ne se détourne, le cœur dévoué à la quête. Quelques années plus tôt, dans une autre vie, combien aurait-elle goûté les danses et la musique, l'insouciance d'une existence dorée que nulle tragédie n'avait su atteindre — et désormais, il n'était rien qu'elle ne désirât plus que les pièces familières de leur demeure à Zeherim, rien qu'elle ne désirât plus que l'étreinte des bras de l'époux, sa seule compagnie à jamais véritablement compter. Qu'importe, qu'ils ne soient que distance et froideur ; il était seul à offrir quelque peu de sens, le seul qu'elle désire jamais retrouver, après la lancinante séparation de quelques jours de voyage. L'évidence que là n'était pas sa place, ne l'était plus ; c'était aux côtés de l'époux qu'elle appartenait, appartiendrait toujours. Alors les doigts courent un instant sur l'or marital, seul éclat d'authenticité dans le costume d'une autre dont elle n'avait su tolérer de se séparer ; et bientôt, loin de l'onyx des yeux de l'époux, c'est les iris d'une autre qu'elle guette dans la foule, le cœur en tambour violent dans la poitrine fragile.
Réparer sa faute.
Sauver celle qui pouvait encore l'être.
Trouver Theo.


Citation :
— s'est invitée à la réception sous le couvert du nom d'une lointaine cousine, pour garder son identité cachée.
— est venue pour trouver sa soeur @theodosia de villiers et son frère.
— erre dans la foule en les cherchant et fait pas grand-chose d'autre rn.

nb: je pars en congés sans pc jusqu'au 8.07, donc je serai moins rapide dans les réponses (#cédursurportable)

25 réponses | 1104 vues
Mer 1 Juil - 10:19
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