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 bloody mess (SUNG)

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Matthias Halström

Matthias Halström

bloody mess (SUNG) AQCxaKH3_o

Messages : 710
Date d'inscription : 24/05/2020
pièces d'or : 829
Ombre : m. blackwood
Peuple : fae
Soupirs : cent quatre ans
Maîtrise :
glace : ♞♞♘♘♘
temps: ♞♞♞♘♘
armes blanches: ♞♞♞♘♘
armes à feu: ♘♘♘♘♘
corps à corps: ♞♞♘♘♘
défense: ♞♞♞♘♘
Affect : depuis toujours, il cache son homosexualité en restant officiellement célibataire; cette décision à crée en lui un peur de l'intimité.
Métier : bagareur dans ces temps libre, espion et assassin le reste du temps.
Faction : fen'haven sous le nom de Matt Torsten.
Errance : zeherim & nythsari
Inventaire : pauvre. il accepte les donations.
Crédits : Coffee Time / tumblr

Aventures :
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rp en cours

sixty eight years in the making
bloody mess
s1e1 nythsari - let the games begin
make it bleed

bloody mess (SUNG) 200603062655748437
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MessageSujet: bloody mess (SUNG)   bloody mess (SUNG) EmptyLun 1 Juin - 23:37

for all the games we play, we never know how far we will go, how far will  lose ourself towards the path we deem as righteous. until we bleed every single blood of our lives for the escstacy of victory, for the reassurance that we fought on the right side and haven't died in vain. for the world will continue without us and we will vanish into the nothingness from which we came before ft. @sung soo-hyun


Le soleil se couchait finalement sur Cìnnerial, englobant la ville dans une douce lumière orangée. Horizon légèrement rosé, elle touchait délicatement le toit des maisonnées, illuminant le paysage pour la dernière fois avant de se coucher. Assit sur le haut d’un toit, cacher des regards, tu ne pouvais pas t’empêcher d’admirer la douceur de ces rayons. De tous les trous d’Ozira, cette ville était celle que tu détestais probablement le moins. C’était comme si tu pouvais prétendre, pour un instant seulement, que la vie était simple: il n’y avait ni guerre, ni sang, ni mort, simplement la vie. Ton regard se perd entre les maisons, regardant le va et viens de ces habitants. Tu te demandais comment c’était de vivre ainsi, d’exister sans aucune crainte. Étaient-ils si naïfs ou c’était ça la vie, la vraie vie? Tu ne te rappelles presque plus ce que c’était de vivre dans un monde qui ne voulait pas te voir disparaitre. Tu les enviais, jaloux de cette fausse utopie que tu ne pouvais pas partager. Cette illusion de sécurité te manquais, cette couverture protectrice presque maternelle qui t’englobe, te protège. Tu n’as jamais été destiné à vivre comme tu le faisais, à cacher ce que tu étais dans l’espoir de vivre. Tu ressentais de la haine, comme pour toute chose ces temps-ci, aversion complète d’une vie qui t’a été enlevé, violemment arracher de tes mains avant même d’avoir été vécu.

Penser nocives, tu en étais presque absorbé, englouti par une vie qui n’était plus. Ce n’est que la douleur dans ton bicep droit qui te ramena finalement à la réalité. Tu grimaces, regardant la manche de ton manteau s’imbiber peu à peu de sang. Shit. Tu avais trop attendu et maintenant tu avais un problème. Une chaleur se rependait dans ton bras, brûlant ta chair. Tu croyais être capable d’oublier cette douleur, la repousser à plus tard. Tu avais sous-estimer la graviter de ta blessure: tu avais fait ton possible pour la nettoyer et la panser, mais ce n’était clairement pas assez pour rectifier le problème. Tu n’avais plus le temps d’attendre: c’était maintenant ou jamais. Soupirant, tu te lèves doucement de ton perchoir, prenant soin de ne pas mettre de pression sur ton bras. Quelle idée de merde, te cacher sur un toit. Tu allais dorénavant devoir descendre sans te casser la gueule, sans aggraver ta condition déjà fragile. Te motivant le plus possible, tu fais ton chemin délicatement vers le sol. Un pas à la fois, tu descends méticuleusement la plante envahissante qui recouvrait l’arrière de la maison. Tout doucement… et puis ton pied manque une vigne: réaction instantanée, tu utilises ton bras amoché pour te retenir. Erreur du siècle, tu sens la douleur remonter ton bras comme si tu avais été frappé par un éclair. Tu sers les dents, refusant de succomber à ton élancement. Ce n’était pas le temps de te morfondre: tu devais bouger.

Le reste de la descente se déroula sans plus de problèmes et tu étais soulagé de finalement toucher le sol. Maintenant tu n’avais qu’à tenir le coup jusqu'à ce que tu trouves de l’aide. Tu savais qu’il n’y avait qu’un seul endroit pour toi, un lieu où tu serais traité sans peur d’être exposé. Apostat depuis des années, tu n’avais pas beaucoup d’option. Une seule en fait: Iseul. Emplacement secret, c’était l’unique choix. Remettant ta capuche sur ta tête, tu te déplaces hâtivement dans cette direction, prenant soin de ne pas attirer l’attention. Tu savais qu’elle n’allait pas être surprise de te voir: c’était probablement l'énième fois que tu toques à sa porte au milieu de la nuit. Tu commençais à sentir le sang couler lentement le long de ton bras. Merde, merde. Tu accélères le pas, tenant ton bras contre ton corps, tentant tant bien que mal de ralentir le tout. Personne ne voulait voir du sang bleu dans leur rue... Tu vois finalement la maisonnée que tu recherchais. Discrète et simple, elle se camouflait parmi les autres maisons, vivant une double vie. Sans plus de formalité, tu te glisses dans la cour arrière: il n’y avait rien de plus flagrant qu’un homme camoufler pour éveiller les soupçons du voisinage. Et encore une fois, tu tapes à cette porte que tu reconnais très bien, priant qu’elle soit là. Que n’importe qui soit là.
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Sung Soo-Hyun

Sung Soo-Hyun

bloody mess (SUNG) Vcr3bdOa_o

Messages : 395
Date d'inscription : 12/05/2020
pièces d'or : 862
Peuple : la bienveillance de l'aube guide ses pas.
Soupirs : quatre-vingt-huit ans, presque autant passés à fuir bien que son masque en laisse seulement paraître vingt-deux.
Maîtrise : guérison niveau 3
métamorphose niveau 2
armes blanches niveau 2
armes à feu niveau 0
corps à corps niveau 2
défense niveau 3
Affect : il n'y a que du gris et des couleurs pastel pour décorer son coeur.
Métier : artiste qui se découvre en même temps qu'il expérimente.
Faction : fen'haven, bien qu'incertain de ce qu'il souhaite véritablement.
Errance : cínnerial, le temps d'une accalmie.
Inventaire : potion toxique
Crédits : météores (profil), mare (signature), wanderer (avatar)

Aventures : indisponible (iseul, jin, eunbi, matthias)


https://astrangegame.forumactif.com/t792-souffle-le-vent-sung#18793 https://astrangegame.forumactif.com/t855-tomorrow-today-sung

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MessageSujet: Re: bloody mess (SUNG)   bloody mess (SUNG) EmptyVen 5 Juin - 22:43


got to keep it locked so you know you can
gonna try and be the silent kind
you know it's not a walk in the park
when it echoes within every spark
(➢)
ft. @matthias halström
(crédits : prima luce, kaotika)


Occupé à nettoyer l’atelier, Sung n’avait pas vu la nuit tomber.
Tout d’un coup la pièce s’était retrouvée dans l’obscurité, il n’avait pas prêté attention aux derniers rayons du soleil, qui pourtant brillaient plus fort. Ce n’était que maintenant qu’il se rendait compte du temps qui s’était écoulé.
Sung était habitué à la saleté, et la poussière. Il n’oublie pas l’état des rues dans lesquels il a tenté de trouver à manger ou le sommeil. Mais dans cet atelier qu’il n’arrive pas à considérer comme le leur, il essaye de faire attention. Il ne veut pas justement que la noirceur des rues s’installe entre ces murs.
Presque personne ne vient ici, parce que presque personne ne possède l’adresse de l’atelier. Il n’ose pas la donner, parce que ce n’est pas vraiment chez lui, comme partout ailleurs. S’il ne se sent plus comme un invité, qui oserait à peine ouvrir les placards, qui aurait peur d’abîmer quelque chose, il ne peut pas considérer cet endroit comme sa maison pour autant. Il n’aurait de toute façon presque personne à inviter, parce que la plupart des personnes à qui il tient appartiennent au passé. Ils s’accrochent à ses souvenirs sans qu’il ne puisse leur attraper la main pour qu’ils retrouvent son présent. Et si certains marquent son cœur, d’autres visages s’envolent et ne laissent que quelques traces, prêtes à s’évaporer. Il n’y a que les Lantsov qu’il croise à présent plus souvent, ceux qui sont arrivés dans leur vie par hasard pour leur offrir une nouvelle éclaircie. Il ne faisait plus attention à ce pendentif autour du cou d’Iseul, qui a toujours été là. Comme la dernière et seule trace manifeste de leur père à ses yeux, lui qui n’avait plus ses souvenirs sur lesquels se reposer. Comme un dernier cadeau qui deviendrait espoir, alors que quelques semaines avant cette rencontre avec Ehrys, Iseul et lui venaient de retrouver les angoisses palpables qui accompagnent la fuite et l’inconnue.
Peut-être qu’après cette rencontre, et puis l’apparition d’Haru avant cela, il aurait dû se mettre à croire en quelque chose, découvrir la foi qui n’avait jamais été là pour guider ses pas, pour remplir son cœur d’espoir. Mais il n’a rien senti s’éveiller dans son âme, alors il a juste remercié en silence son père disparu, sans savoir vers où diriger ses mots, qui ont simplement résonné dans son cœur.
Est-ce qu’il pouvait les entendre, quelque-part ? Et si oui, est-ce qu’il lui en voulait, d’avoir effacé sans même le savoir, sans même le vouloir, toutes les traces de lui, alors qu’elles auraient dû rester ancrées dans son cœur, comme indélébiles ? De n’avoir comme image de lui que les souvenirs rapportés d’Iseul qui tenait tant à lui, et à leur mère ? Est-ce que cela signifiait que Sung, lui, ne tenait pas assez à eux ? Il se l’était souvent demandé lorsqu’il était petit. Alors, lorsque soudainement il avait dû à nouveau prêter attention à ce médaillon qu’il avait oublié, lui aussi, toutes ces questions lui étaient revenues.
À ces souvenirs disparus, à ces questions sans réponses, à ces remords étouffés, Sung ne pense plus. Il avait dû souffler sur ses regrets pour qu’ils ne reviennent plus. Pour encore une fois, oublier.
Il termine de nettoyer lorsqu’il entend toquer à la porte. Son cœur rate un battement et puis tout de suite accélère pour tambouriner dans sa poitrine.
Il passe sa tête dans le couloir pour regarder la porte arrière, qui ne lui apporte aucune réponse. Iseul n’est pas là, il est trop tard pour que ce soit une visite improvisée des Lantsov, qui lui auraient de toute façon signifiés que c’était eux, alors Sung sent l’angoisse s’emparer de lui. Il a le temps d’imaginer les pires scénarios en quelques secondes. Il pèse le pour et le contre en se disant qu’il serait probablement pire pour son sort de ne pas ouvrir, alors il se dirige vers la porte, le cœur battant toujours trop fort.
Lorsqu’il l’ouvre c’est un jeune homme inconnu dont il aperçoit à peine le visage qui apparaît devant ses yeux.
— Bonsoir ?
Sa voix est calme, toujours, même si un peu hésitante. Il tente d’ignorer le bruit de son cœur qui résonne.
— Je peux vous aider ? Sa voix est calme et légèrement hésitante.
Il essaye de le reconnaître mais il fait trop sombre pour qu’il puisse être certain de quoi que ce soit, surtout avec cette capuche sur sa tête. Alors Sung reste prudent, ouvrant à peine la porte, et prêt à réagir à tout instant.
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Matthias Halström

Matthias Halström

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armes à feu: ♘♘♘♘♘
corps à corps: ♞♞♘♘♘
défense: ♞♞♞♘♘
Affect : depuis toujours, il cache son homosexualité en restant officiellement célibataire; cette décision à crée en lui un peur de l'intimité.
Métier : bagareur dans ces temps libre, espion et assassin le reste du temps.
Faction : fen'haven sous le nom de Matt Torsten.
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MessageSujet: Re: bloody mess (SUNG)   bloody mess (SUNG) EmptyMar 9 Juin - 21:42

for all the games we play, we never know how far we will go, how far will  lose ourself towards the path we deem as righteous. until we bleed every single blood of our lives for the escstacy of victory, for the reassurance that we fought on the right side and haven't died in vain. for the world will continue without us and we will vanish into the nothingness from which we came before ft. @sung soo-hyun


Tu t’étais mis dans une fichue situation et maintenant tu étais là à attendre que quelqu’un t’aide. Tu n’avais jamais été le genre de fae à faire confiance, à laisser les autres t’aider. Tu avais toujours été débrouillard, avais toujours détesté la vulnérabilité rattacher à cette foi qu’on confiait aux gens. Tu manquais cet optimisme, croyant toujours au pire. C’était la raison pour laquelle tu n’avais probablement pas d’amis : tu étais incapable de t’ouvrir, de laisser quelqu’un rentré dans cette forteresse que tu avais construit autour de ton coeur. Amitiés, amours : tu n’avais rien de tous cela. Tu avais une collection de connaissances, rien de plus… Tu refusais de t’ouvrir, même si c’était la chose que tu désirais le plus. En vérité, tu savais que tu ne faisais que te cacher, repoussant les contacts par lâcheté : tu n’avais rien à perdre si tu avais, bah rien. Aucun risque, aucune souffrance. C’est cette logique simple qui t’avait apporté une vie de solitude, exil émotionnel orchestrer par une peur de s’attacher. Tu étais l’heureux élu de tes propres décisions merdiques. Tu attendais impatiemment, l’épaule de ton bras endolori contre le cadre de la porte extérieure d’une maisonnée en apparence banale. Tu étais maintenant dans l’obscurité totale : cacher en dessous des arbres, tu étais presque invisible, la noirceur de tes habits te camouflant dans le décor. De l'extérieur, tu ne voyais aucune lumière, aucune activité : c’était comme si la noirceur avait englouti le monde entier. Le plus longtemps que tu restais sur ce perron arrière, le plus suspicieux tu te sentais : tu te sens tel un cambrioleur, planifiant quelque chose de néfaste, toi qui n’avais, pour une fois, aucune mauvaise intention. Tu te retenais de toquer une autre fois : tu sentais ton sang au travers de ton manteau, imbibant peu à peu tes doigts. Le temps t’échappais d’entre tes doigts, littéralement. Tu n’oses pas retirer tes doigts de la plaie : tu ne savais pas si tu faisais la bonne chose en la tenant ainsi, mais ton instinct de survie avait pris le dessus et tu n’étais pas assez con pour l'ignorer. . Tu attends, tentant tant bien que mal de ne pas trop penser à ta blessure. Tu devais te détacher de ta situation, penser à n’importe quoi d’autre que la chaleur de ton bras, mais rien ne venait. Ta tête était vide d’idées, complètement absorber par ton incompétence qui t’avait créé cette belle situation précaire.

Finalement, cette porte que tu avais passée les dernières minutes à dévisager s’ouvre partiellement devant toi. C’est une voix masculine qui t'accueille, résonnant doucement contre le cadre de la porte « Bonsoir ? » Tu pouvais sentir une hésitation dissimulée sous le ton de sa voix, se forçant à se cacher sous un calme complet. Tu fronces les sourcils et regarde rapidement des yeux les alentours. Est-ce que tu t’étais trompé de maison ? Avais-tu dérangé ce pauvre mec pour rien ? Tu avais l’air d’un fou, cognant sur une porte arrière en pleine nuit. Tu ouvres la bouche pour parler, mais la referme aussitôt ouverte. Tu allais lui dire quoi ? Désoler de ruiner votre porte avec mon sang ? Tu te mords l’intérieur de ta joue. Tu étais certain d’avoir la bonne adresse. Il faisait peut-être un noir affreux, mais tu n’étais pas aveugle à ce point-là. Serrant ta main toujours sur ta plaie, tu regardes l’individu devant toi. « Je peux vous aider ? » Tu ne peux t’empêcher de le dévisager sous ta capuche : il n’était clairement pas la femme que tu cherchais, le fait qu’il était un mec te le confirmait, mais il ne te semblait pas complètement inconnu non plus. Tu étais certain de ne l’avoir jamais vu auparavant... Convaincu d’être à la bonne adresse, tu décides que tu n’avais rien à perdre à le questionner : si tu étais bel et bien chez Iseul, que foutait ce mec ici ? « Peut-être. » Tu lui parles d’un ton froid : tu n’as jamais vraiment été très habile pour la conversation. Même si tu tentais le coup d’avoir une voix douce et sympathique, tu allais sonner comme un tueur en série : ce n’était juste pas qui tu étais. « Elle est où ? Parce que toi, je t’ai jamais vu avant. » Tu glisses subtilement ton pied entre la porte et le cadre : tu ne pouvais pas risquer qu’il te ferme la porte au visage. Tu ne savais pas qui ce mec était, ou s’il était supposé être dans cette maison, mais tu ne pouvais plus reculer à présent. S’il ne voulait pas t’aider, tu allais devoir t’aider toi-même, peu importe les risques…

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