eye of the tiger (ehrys)

It's the eye of the tiger, it's the thrill of the fight
Risin' up to the challenge of our rival
And the last known survivor

crédits : prima luce, hedgekey (icons) + survivor (eye of the tiger)

ft. @ehrys lantsov

- Ehrys est rentré.
Allongée sur le sol froid, Iseul se redresse brusquement pour se tourner vers son frère dans un tourbillon de cheveux corbeau et de poussière.
- Ehrys est quoi ?
- Ehrys est rentré.
Elle déplie ses jambes, abandonne l’objet-idée avortée qu’elle a fait tourner et tourner encore pour rompre ces ennuis qui prennent au corps et font couler les après-midi au ralenti. En secouant ses vêtements pour dissiper les nuages qu’a laissé la poussière sur le tissu noir, elle dit :
- Quand ?
Il hausse les épaules sans se retourner. Iseul se fait femme tourbillon, fait tanguer la collection de sculptures bancales qu'elle a oubliées au gré de ses humeurs changeantes en passant trop près, trop vite, retourne les piles de choses entassées dans les coins à la recherche de seule elle sait quoi.
- Pourquoi il ne m'a pas dit ?
Sung ne répond pas parce qu'il n'y a rien à répondre, parce qu'Iseul a su, parce qu'Iseul n'a pas voulu écouter ce qu'on lui disait et que les mots où se cachaient son retour se sont perdus dans des pensées trop pressées. Iseul n'écoute jamais, n'a jamais écouté, n'a toujours écouté qu'elle-même.
Iseul oublie.
La lassitude de son après-midi rapidement se déplie. Les ennuis se drapent en envies et elle extirpe d'entre les carcasses de plâtres deux bâtons d'entraînement longs et usés par le temps et les coups qu'ils ont pris et portés. Elle s'agite et se presse puis quand son frère, toujours sans la regarder, souffle de ne pas rentrer trop tard elle se glisse dans son dos et colle sa joue à la sienne en lui disant : jamais, et déjà elle est partie dans un tourbillon d'étoffes noires. Les pavés défilent sous ses chaussures usées et tâchées de peinture qu'on n'a pas pris la peine d'essuyer, elle serre le poing sur le bois dans chacune de ses mains, presse le pas jamais trop peu jamais assez, pour ne pas trop détonner, pour que les curieux se retournent sur une femme à l'allure curieuse mais que eux, les autres, les monstres dont on esquive les regards, ne s'attardent pas. Elle avale le chemin qu'elle connait par coeur et les battements de son coeur s'alignent sur les semelles qui claquent et qui claquent trop fort. La maison se dessine déjà, coincée entre les autres, au bord de la ruelle où s'enroule dans les arbres le printemps qui commence.
Elle coince les deux bâtons sous son bras alors que d'une main elle tourne la poignée de la petite porte en bois.
- EHRYS !
La porte claque contre le mur en même temps que sa voix. La main toujours sur la poignée, elle cherche le visage du garçon dans l'entrée vide, referme la porte trop violemment en s'engouffrant dans les appartements de l'enfant de la nuit alors qu'elle se fait enfant-tempête.
- Ehrys Lantsov !
Elle dit encore une fois, encore trop fort, les yeux sautant d'un objet à l'autre, d'une porte à l'autre sans le trouver jamais jusqu'à ce que, soudain, dans un coin du salon il soit là, assis dans le fauteuil alors que déjà ses yeux ont attrapés les siens.
Elle a la lèvre qui se retrousse en un sourire qui s'il n'était pas teinté de rire se ferait carnassier alors qu'elle tend un doigt vers lui. Elle se dresse au milieu de la pièce, poitrine gonflée et la main toujours pointant le torse de l'homme toujours assis dans un confort piétiné par son entrée.
- Alors comme ça on ne vient pas dire bonjour ? qu'elle dit, en haussant les épaules d'un air moqueur. T'avais trop peur ?
Elle plisse les yeux et son sourire dévoile plus encore ses dents alors que son ton se fait narquois et qu'entre elles glissent des accents provocants. Elle lui lance l'un des deux longs et fins cylindres de bois alors que ses doigts s'enroulent sur celui qu'elle tient encore à la main pour le brandir devant le visage d'Ehrys en désignant l'autre du menton. Elle plonge dans ses yeux les siens plein de défis alors que ses canines toujours plus se découvrent pour laisser les mots passer.
- Affronte moi. Montre moi un peu combien ton soit disant entraînement porte ses fruits.

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crédits : prima luce, hedgekey (icons) + survivor (eye of the tiger)

ft. @iseul soo-hyun

Ehrys a tout prévu. Tout a été imaginé pendant les deux mois loin de chez lui. Mischa n'a pas vraiment cherché à comprendre lorsqu'il observait les esquisses étranges de poulies et de rouages qu'Ehrys dessinait frénétiquement. Ehrys avait du murmurer le nom d'Iseul quelques fois, et son mentor s'était complétement désintéressé de l'affaire. Le Kamenev ne désirait plus entrer dans des conflits qu'il considérait comme puérils. Il avait assez souffert des combats ridicules qu'Ehrys au sang chaud menait contre la Soo-Hyun. Parfois, il regrettait de les avoir amené auprès d'Ivana, uniquement parce que sa propre paix était troublée par l'arrivée des deux faes de l'aube.

Ehrys lui, bien qu'il ne l'avouerait jamais, adorait cette rivalité loufoque entre lui et cette fae. Il avait donc planifié leurs retrouvailles, tout avait été calculé avec la minutie d'un architecte. Ehrys attendait depuis deux mois l'opportunité de construire son idée de ses propres mains. Le fae de la nuit était rentré dans sa petite maison aux toits de chaume dans la banlieue cossue de Cinnerial et n'avait plus donné de signe de vie. Pas même à Rhyia. Il ne voulait pas que l'annonce de sa venue arrive jusqu'aux oreilles de l'enfant sauvage, celle-ci même qu'elle essayait avec de grandes difficultés à éduquer aux choses du monde.

Tout est terminé, tout est fini. Il range entièrement sa maison, déposant à la cave les bibelots auxquels il tient le plus, de peur de les voir entièrement ravagés par la tempête qui arrive à grand pas. Ehrys l'entend déjà dévaler les escaliers de son atelier pour venir le rejoindre. Il ricane, cache les derniers vases familiaux, rit à nouveau et finit par s'installer dans son fauteuil favori. Quelle chance d'être tombé sur Sung en ce joli après-midi, Ehrys n'a qu'à lui glisser quelques mots et le petit oiseau va sans aucun doute en parler à sa grande soeur. Maintenant que le fae de la nuit est prêt, il n'attend plus qu'elle. Son coeur bat la chamade, il ne peut s'empêcher de trépigner, assis. Le livre qu'il fait semblant de lire reste toujours ouvert à la même page.

Il l'entend déjà claquer les portes de sa maison, Ehrys a un sourire aux lèvres qu'il a du mal à réfréner, elle va entrer dans le piège dont elle ne pourra plus ressortir. Il le sait, elle volète partout dans sa maison afin de le trouver, elle change de place à la vitesse d'un ouragan, hurlant son nom. Enfin elle arrive au milieu du salon, posant d'une manière étrange. « — Ah ! Iseul tu tombes bien, je ne t'attendais pas. » Ehrys pose des yeux suspicieux sur la grande brune qui tient en main deux grands bâtons. Il n'avait pas pensé qu'elle aurait choisi les armes sans lui. Il souffle mécontent, mais essaye de rester de marbre, elle n'a plus qu'un pas à faire pour tomber dans le piège tendu. « — Peur, moi ? » Il fait un signe de tête pour lui montrer que cette idée est complétement absurde. Elle lui jette un des bâtons qu'elle tient, elle l'envoie juste assez loin pour qu'il ne puisse pas le rattraper sans se lever. Encore une effronterie de plus. Ehrys hésite à sortir de son fauteuil, Iseul n'est pas encore totalement à l'endroit où elle devrait se trouver.

Il se lève d'un bond comme pour l'attaquer afin qu'elle recule de quelques pas sur la droite. Mais Iseul reste de marbre, les pieds plantés dans le sol, un sourire digne des plus grands prédateurs sur le visage. Ehrys en reprenant le bâton au sol l'emmêle avec la corde qui relie tout le piège. Et avant qu'il n'ait pu faire quoi que ce soit, le piège se referme sur lui. Le baton est soulevé du sol par la corde qui virevolte vers le plafond et emporte Ehrys avec lui. Ne pensant pas à lâcher le bâton il se heurte alors à Iseul dans le cohue du diable. Les poulies peu graissées grincent comme des animaux abattus. Et Ehrys finit par se retrouver le bras entièrement bloqué par les cordes et le corps dans un filet grossièrement tressé accroché à son plafond. Ehrys ne touche plus le sol et Iseul a terre le regarde étrangement. Ehrys essaye de se donner une contenance du mieux qu'il le peut. Le fae est dans un sac prévu pour des légumes. « — Ah, ça fonctionne donc ? » Il rit jaune, parce qu'il sait ce que ce malencontreux incident va influencer le reste de leurs retrouvailles. Il aurait du jubiler d'avoir attrapé Iseul dans un sac à pommes de terre, et finalement il se trouve à sa complète merci. « — Pour me laisser descendre coupe juste la corde. » L'air nonchalant qu'il essaye de se donner ne tiendra pas longtemps si elle ne désire pas l'aider.

@ehrys lantsov

Elle se souvient, Iseul, de la première fois qu’elle a croisé Ehrys. Ils ne se sont jamais vraiment croisés, en vérité, ils se sont rentré dedans, et c’est ce qu’ils font encore depuis presque dix ans. Ils se rentrent dedans, ils collent les fronts l’un contre l’autre quand ce ne sont pas les poings, ils se heurtent sans cesse dans des combats puérils auxquels plus personne ne prête attention. Mais malgré tout ça, malgré les piques et les regards en coin, Iseul l’aime bien, Ehrys. Ehrys l’amuse. Ehrys la distrait. Ehrys mieux que personne sait casser son ennui.
Elle a trouvé un rival avant de trouver un ami, se targue encore qu’il n’est que ça, un rival, mais il y a bien longtemps qu’il a pris plus de place dans sa routine. Alors, elle l’aime bien, Ehrys, même si elle ne le dit pas, même si elle grimace quand on parle de lui.
Elle ne sait plus depuis combien de temps ça a commencé, en vérité, parce qu’il y a si longtemps qu’ils se heurtent avec fracas l’un contre l’autre, parce qu’entre eux ça a toujours été comme ça, parce que leur première rencontre c’est aussi la première altercation, et c’est le début de toutes celles qui viendront ensuite, c’est le début de ce qu’on appelle l’habitude, maintenant. Alors, quand il n’est pas là, quand il s’absente pendant des mois, peut-être qu’il lui manque un peu. Lui ou leurs altercations stupides, elle ne sait pas, ne se pose pas vraiment la question, ne le dira pas non plus parce qu’elle n’y pense pas, parce que tout ce qu’elle sait c’est que quand il est là, il y a peut-être plus d’éclat dans une vie teintée de trop de monotonie.

Elle ricane quand il lui répond, le bâton toujours pointé vers sa poitrine en attendant qu’enfin il se lève. Il le fait finalement, presque menaçant si Iseul avait eu un jour peur de lui, et elle hausse un sourcil, étire un peu plus son sourire alors qu’elle s’apprête à lui demander si elle est censée avoir peur mais les mots n’ont pas le temps de franchir la barrière de ses lèvres. Tout va très vite, tout va trop vite, et elle observe sidérée le corps d’Ehrys décoller du sol, pris au piège dans des cordes jusqu’à lors invisibles, n’a pas le temps de reculer quand il la heurte avant que les cordes se tendent plus encore pour l’attirer plus haut encore. Les poulies cessent leur cacophonie affolée et ne reste que le silence, un instant seulement, alors qu’elle regarde le corps du garçon suspendu au plafond sans y croire, les yeux écarquillés. Et le silence très vite est brisé par son rire, et Iseul rigole fort, Iseul s’appuie sur le bâton qu’elle a planté dans le sol, pour ne pas se laisser tomber sur le sol, en le pointant d’un doigt moqueur.
Elle s’approche finalement, en rigolant encore, tapote du bout de son arme de fortune l’une des cordes qui le maintiennent immobile.
— Je suppose que c’était pour moi ? Ou bien tu t’essayes à la performance ? elle ricane en s’approchant encore un peu, avant d’ajouter. Belle réussite en tout cas, tu m’impressionnes.
Elle applaudit en hochant la tête, le sourire narquois et l’air faussement impressionné pour appuyer ses paroles.
Iseul penche la tête sur le côté, dévisage Ehrys et son air faussement à l’aise alors qu’il a le corps tordu et emmailloté dans les cordes. Elle secoue la tête de droite à gauche en claquant la langue contre son palais lorsqu’il termine sa phrase.
— T’es sûr que tu veux descendre ? Tu as l’air tellement à l’aise comme ça. Elle pouffe encore, hausse les épaules d’un air faussement désolé. J’aimerais bien t’aider, vraiment, mais tu vois je n’ai pas de couteau sur moi. Et puis tu t’es donné tellement de mal pour moi, ça serait dommage de gâcher ça. Je suis flattée, soit dit en passant.
Elle s’approche encore plus près, moqueuse, attrape son visage entre ses doigts en dévoilant ses dents sur un sourire toujours plus grand. Presse ses joues entre le pouce en l’index, se concentre un instant avant de le relâcher.
— Magnifique.
Elle retient un éclat de rire à grand peine, se mord la lèvre pour garder son sérieux alors qu’elle baisse son menton vers elle, du bout des doigts, pour mieux contempler la moustache ridicule et les sourcils étranges et étonnements fournis dont elle l’a doté.
— Vraiment magnifique.
Elle recule de quelque pas, ne retient plus son rire avant de poursuivre.
— Est-ce que tu as un miroir quelque part ? qu’elle dit. Oh non, j'ai mieux, est-ce qu’on devrait appeler Rhyia ? Je parie qu’elle serait ravie de voir un tel... spectacle.
Elle rigole pour elle-même en se détournant de lui, fouille dans les coins de la pièce sans lui demander la permission, pour trouver de quoi couper la corde, disparaît dans la cuisine en ne trouvant rien et en en revient avec un long couteau. S’assied dans le fauteuil où il était posé quelques instants auparavant, croise les jambes d’un air nonchalant, presque ennuyé en dardant son regard sur la silhouette qui se balance au-dessus du sol, les doigts qui glissent sur la lame tandis qu’elle penche encore la tête de côté.
— Je ne sais pas tu mérites que je te laisse descendre, finalement. Je trouve que tu n’as pas demandé très gentiment. Elle prend un air faussement désolé en agitant le couteau dans sa direction. Mets-y un peu plus de volonté et je verrais ce que je peux faire.

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ft. @iseul soo-hyun

Ehrys est désormais entièrement saucissonné au plafond, alors qu'Iseul s'esclaffe au sol. Ce n'était pas du tout la scène qu'il avait imaginé. Dans ses rêves et ses plans, il pensait avoir Iseul à sa merci et qu'il serait lui, les deux pieds ancrés au sol à rire jusqu'à en pleurer. Malheureusement, le sort en a voulu autrement. Et Ehrys essaye d'en rire. « — Oui, j'ai vu une performance du Circus Arcanus, j'ai voulu m'y essayer. » Il aurait aimé être acrobate, magicien, se défaire des cordes qui l'enserrent et tomber du plafond en un double salto arrière. « — Mais ce n'est définitivement pas pour moi. » Il envoie un sourire ironique à Iseul qui applaudit.

Alors que le sang lui monte peu à peu à la tête, il remarque le sourire plus que douteux de la fae de l'aube. Iseul s'approche un peu trop prêt de son visage. Les yeux d'Ehrys sont à la hauteur de la bouche de son amie, il a tout le temps de détailler ses lèvres qui se retroussent, comme lorsqu'une mauvaise idée lui vient à l'esprit. Ehrys connait bien ce sourire, il est souvent l'initiateur de leurs bagarres. Comme une alarme Puis, soudain, il comprend ce qu'elle est en train de faire. « — Arrête ça tout de suite Iseul ! » Il crit, se débat, mais rien n'y fait. Ehrys sent les poils de sa barbe s'allonger. Une drôle de sensation le prend autour du nez et au dessus des yeux. Tout pousse à une vitesse incroyable, et avant qu'il ait pu faire quelque chose, il sent des poils qui lui tombent devant les yeux. Elle a fait pousser ses sourcils... Ehrys n'a qu'une envie : lui faire mordre la poussière. Mais ce qui l'inquiète encore plus sont les poils qu'il sent lorsqu'il passe la langue sur sa lèvre supérieure. « — PAS LA MOUSTACHE ! » Ehrys se crispe encore plus, Iseul est littéralement en train de l'enlaidir. Il n'aurait jamais du lui dire, un soir de beuverie, qu'il détestait les moustaches. Elle ne sait que trop bien se servir des faiblesses de ses adversaires.

Bouillant de colère, les poils de ses sourcils comme une visière, il observe Iseul se promener chez lui comme si elle était la propriétaire. Elle semble chercher quelque chose. Il murmure dans sa toute nouvelle moustache. « — Mais je t'en prie, fais vraiment comme chez toi... » Alors qu'elle disparait du salon, Ehrys se débat comme il le peut. La scène doit être si ridicule qu'il prie tous les Aevhens d'empêcher quiconque de regarder par la fenêtre de sa maisonnette. Mais, alors qu'elle est en train de farfouiller quelque part dans la cuisine, Ehrys sent que certains nœuds qui le maintiennent prisonnier ne sont pas si serrés et qu'il parvient facilement à en sortir. Une idée vient effleurer son esprit. Il se met à sourire.

Exaspéré par Iseul qui revient avec son couteau préféré, il préfère la laisser penser qu'elle a encore le dessus. Et qu'il est encore entièrement maintenu par les cordes et le sac de légumes. Elle lui demande de s'excuser, de s'écraser et montrer qu'elle le domine de toute sa supériorité. Il lève ses yeux au ciel, ou plutôt, vu sa position, vers le sol. « — Par Zoku, fais-moi descendre s'il te plait. » Il sourit et alors, qu'elle passe nonchalamment ses doigts sur la lame de son couteau, Ehrys se détache rapidement.

Profitant de l'effet de surprise, il prend des mains le couteau d'Iseul et le jette au loin. La regarde, yeux dans les yeux, le sourire carnassier de celui qui peut enfin se battre sur les lèvres. Quasiment front contre front. « — Bats-toi gourgandine, je n'ai pas dit mon dernier mot. » Il finit par ramasser la canne qui s'était emmêlée dans les cordes et commence à provoquer Iseul en la tapotant dans le torse de la pointe du bâton. La forçant à reculer vers la porte du jardin. Pas question qu'ils abîment encore plus son salon.

» (addie) a tiger in a cage
» ehrys □□ bloody forest
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