— Who are you —

Âge cinquante-et-une années, plus de la moitié passées à défendre les intérêts de l'Ordre. Date et lieu de naissance  11 noveria 1022, Veneria, Adenor. Classe sociale aisé, racines prises dans l'Ordre des Cendres, postes avantageux souvent occupés par tes pairs. Orientation & statut mariage entaché par la distance, amertume de l'épouse face au refus exprimé ; Nythsari trop peu sûre à ton goût. fidélité fragile, ponctuellement rompue. Métier commandant au sein de l'Armée Rouge. Localisation Nythsari, habituellement basé au Cercle d'Izeghar, déplacements jusqu'à Oceara fréquents ces derniers temps. Faction Ordre des Cendres. Gang aucune autre affiliation que l'Armée Rouge ne serait pour toi acceptable. Croyances fervent pratiquant de l'Helionisme, idées bien tranchées sur la question. Caractère droit, loyal, radical, combatif, diligent, déterminé, autoritaire, impitoyable, stratège, discipliné, orgueilleux, perfectionniste, sadique, raciste, rancunier, acerbe, calculateur, misogyne, méprisant.

— all your secrets —

(( LOVE IS FAKE, ASK MY PARENTS )) Adenor comme terre natale, famille qui loge à Veneria depuis bien trop longtemps déjà. Puristes dans l’âme, honorables anciens qui ont combattus pour permettre à la race humaine de se libérer du joug de la vermine, la famille Kaldwin a toujours tâché de maintenir cette image rigoureuse et droite, descendants portant tous ce nom avec fierté. Impérialistes, profondément helionistes, tout te menait déjà à une vie de dévotion, loyauté inculquée dès le plus jeune âge et désir de marcher dans les pas de ton père déjà présent quand tu n’avais que six ans, jouant déjà au petit soldat avec ton frère, épée de bois brandie contre les monstrueux fae. Amour parental inexistant, éducation austère et stricte ; aucun manque d’affection quand tu n’en as de toute manière jamais connu.

(( DON’T FEEL GUILTY FOR YOUR ANGER, YOU LOOK BEAUTIFUL WITH A GLARE AND SHARP TEETH )) Haine déjà cultivée par les géniteurs qui s’enflamme, festivités célébrant l’Exaltation perturbées par ces rebelles, figure maternelle que tu ne reverras plus jamais, jeune frère blessé. Deuil familial qui renforce des opinions déjà radicales. Onze années, c’est jeune, mais juste assez pour comprendre que mère ne reviendra pas, qu’à présent il n’y a plus que père et que tout ça est de la faute des monstres que tu combattais jadis, jeunesse qui n’a plus besoin d’être modelé, convictions familiales déjà bien appropriées, réprimandes du paternel quand tu ne cesses de réclamer, de demander quand viendrait ton heure tandis que six années te séparent encore de la vengeance, esprit guerrier déjà développé.

(( DESTROYING EVERYTHING SEEMS LIKE THE BEST OPTION )) Preuves faites, tu t’acharnais, désireux de prouver ta valeur, vingt-et-une années au compteur quand enfin les épreuves se présentaient à toi. Échec impensable, confiance en toi inébranlable comme tu t’étais préparé à cet instant depuis un trop longtemps déjà, exigence envers toi même qui paye. Première injection de lyrium qui sème le doute, jours qui suivirent qui présentent une seconde épreuve ; impossible de réellement s’y préparer. Réussite totale malgré tout, t’étais loin d’être conscient que ça scellerait ton sort, que tu t’engageais sur la dangereuse voie de la dépendance. Jeune soldat, fier et dévoué, aucune surprise pour tes pairs, presque prévisible quand ton ambition était déjà de gravir les échelons.

(( GODS ARE WATCHING SO GIVE THEM A GOOD SHOW )) Période faste qui suit ce que tu considérais comme une consécration ; mariage arrangé par ton paternel, tout aurait pu mal se passer alors que tu ne l’avais en rien choisie, chance qui te sourit, boucles dorées qui hypnotisent, jeunesse découvrant autre chose que la vengeance, éclat de lumière qui reflète sur le sang versé. Intérêts nouveaux, volonté de protéger ce qui t’es cher, seule et unique femme que tu daignes respecter. As-tu vraiment le choix de toute manière ? Elle qui s’impose, qui parvient à te faire écouter, conscience dont tu ne disposes pas qui vient compenser, épouse et confidente à la fois. À ses côtés, tu traces ta route, grades aisément gagnés, amplement mérités au prix de la sueur et du sang, loyauté sans failles, toujours. À l’aube de tes vint-cinq ans, joie multipliée quand tu te vois à la fois passer lieutenant et devenir père au court de la même semaine. Père exigeant, tu t’obliges à l’être, tu ne veux que l’excellence et ça se reflète dans ton comportement, l’enfant se doit d’être à la hauteur. Héritage à préserver, famille qui s’agrandit encore, toi même tu ne te vois pas dériver vers ta propre déchéance.

(( YOU WANT BATTLE ? I’LL GIVE YOU WAR )) Capitaine de l’Armée Rouge à Veneria, événements au Cercle d’Adenor te secouent, répression se doit d’être renforcée, rage au ventre plus que jamais, tu n’as d’autres choix que d’observer en silence dans l’attente des ordres, soldat avant d’être officier tu restes fidèle à tes valeurs. Tu te contentes de resserrer la vis à ton niveau, durcir les procédures comme unique solution, marge de manœuvre trop peu large pour que vous ne puissiez vraiment être efficaces. À nouveau t’attends ton heure, t’attends le moindre faux pas venant de l’opposition et t’attends les ordres.

(( THERE IS NO MOVING ON )) 1066, galons de commandant à peine obtenus que tu t’éloignes, refus catégorique de laisser les tiens t’accompagner à Nythsari, région jugée trop dangereuse alors que tu cherches des excuses. Addiction trop forte, ravages bien trop ressentis et bien trop visibles, lyrium qui te dévore de l’intérieur sans que tu ne puisses rien y faire. Cauchemars récurrents, nuits bien souvent coupées, repos impossible à trouver. Commandant qui ne peut faillir, ne peut montrer la moindre faiblesse malgré le manque de contrôle sur ces spasmes qui te secouent aussitôt le manque montrant le bout de son nez. Injections presque quotidienne pour tenter de limiter les dégâts, récents événements à Oceara qui poussent au déplacement, occupent l’esprit d’une toute autre manière alors que les problèmes du Cercle sont relégués au second plan. Fidèle mabari à tes côtés, chien de guerre qui ne demande qu’à goûter à la chair pourrie des fae. Tu considères que t’as plus rien à perdre, odeur de rébellion qui n’augure rien de bon, telle l’Hydre, t’es prêt à en couper toutes les têtes.