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 i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil)

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Khalil Ashkan

Khalil Ashkan

i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) PJrakpVW_o

Messages : 93
Date d'inscription : 01/05/2020
pièces d'or : 447
Peuple : la différence comme quotidien, ce sont deux mondes qui se croisent au détour d'un cruor embrasé ( hybride ).
Soupirs : ( vingt quatre années ) et la jeunesse qui se fane souvent sous les assauts d'aquilons sanglants.
Maîtrise : eau (niveau 2), persuasion (niveau 1), armes blanches (niveau 2), armes à feu (niveau 0), corps à corps (niveau 1), défense (niveau 3)
Affect : le coeur épave, paralytique naufragé échoué le long des rives décharnées de l'amour, il est épris de son sel, de son fiel qu'elle abandonna à ses lippes tranchés par ces baisers inavoués ( célibataire ) .
Métier : ( distillateur pour brigmore ) les mains à peine plus que volatile en mal de liberté, il s'use le derme à ses douleurs tranquilles, accomplissant son labeur sans jamais rechigner.
Gang : la sorgue pour unique mère, ces heures solitaires devenues unique foyer, khalil ne vit qu'aux faveurs de l'opalescente reine ( collectif de minuit ).
Errance : évanescente escale destinée à se reposer les os ( astragan ) n'est que foyer temporaire pour celui qui ne connait que la route.
Inventaire : obsidienne
Crédits : alcuna licenza (ava), r-siken.tumblr(profil)

https://astrangegame.forumactif.com/t626-i-burn-i-shiver-out-of-this-sun-into-this-shadow-khalil https://followthestars.forumactif.com

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Khalil Ashkan


no matter what i do,
i will always be a
haunted house i am
too afraid to live in.



— Who are you —


Âge La chair est blême de flétrir sous l’affre des astres, de fuir les lueurs du jour de crainte d’en finir immolé. Voyageur égaré à même la voûte céleste, c’est le sacre du temps qui est à jamais gravé à même sa trachée. C’est l’écho assourdissant de ces mots en devenir, de ces mots oubliés, qui rompt l’auditoire de ses vertèbres en une cacophonie souffrant fureur divine. A s’y perdre au tranchant de son sourire, à ignorer les aléas de la vie ayant fait de son corps mutilé une plaie, un avertissement, il est aisé d’oublier la faille à l’envers même de ces dorures camouflant l’ourlet amer. Vingt-quatre années portées à même la carne comme le tribut d’une guerre dont il ne serait pas revenu. Autant d’erreurs consommées jusqu’à la lie, la cigüe plein le coeur d’avoir trop vaincu. D’avoir trop perdu en survivant malgré tout quand tant d’autres, l’océan plein les bronches, avaient finis noyés à même l’encre d’un azur meurtri. Il est jeune le gamin et pourtant déjà si vieux. Plein le regard il porte l’effroi de tant de vies déjà vécues, tant de vies déjà disparues. Jamais tout à fait personne, pourtant incapable d’être quelqu’un, l’anonyme flirte avec les ombres de l’oubli. Puisque ne peut exister homme hors des couloirs du temps, l’enfant se demande si un peu de lui n’est pas mort à l’aube de sa vie.  Date et lieu de naissance Progéniture arrachée à même la voûte de rêves incertains, il était un souhait avant que la carne ne se forme. Il n’était qu’une prière à même leurs lèvres décousues tandis qu’en dehors du sanctuaire maternel grondait l’ouragan de ces rages éternelles. Recraché par l’océan, les poumons pleins de leur fiel, c’était du sel plein les lèvres et de l’écume plein les yeux qu’il naquit sous les rayons brûlant d'Azracca un quatorze Juzhra  1049. Déjà à l’aube de ses premiers jours reposait à même sa crinière sombre le brûlant de leurs prunelles. Le feu de leur haine prêt à ronger son corps enfantin pour assouvir la soif des Euménides. Soigneusement placé en ses veines gronde les torrents infernaux du Phlégéthon, le brûlant de leur ire ayant à jamais marqué l’enfant. Degré d'hybridité & héritage Pour seule engeance ce ciel l’ayant abandonné, le gamin souffre sa filiation divine. Fils de quelqu’un subitement devenu personne, il n’a que le regard de son oncle pour lui remémorer la fable de ses origines. Pour marteler à même les parois de son crâne l’abomination méphitique de sa naissance duale. Ni tout à fait un, ni tout à fait autre, l’hybride épaule consciencieusement les maux des astres. Progéniture des flots, l’iode en ses veines et le même que celui de son père. C’est l’été qui rugit en son regard tandis que l’apollon arbore sans pudeur l’humanité de ses failles. Classe sociale Colle à sa peau les marasmes fiévreux des ruelles de sa jeunesse, l’odeur putride de ces bas-fonds où ne sont enfantées que plus de désespérances. L’anonymat un linceul voué à le mener à son tombeau, il s’échine, s’écharpe à presser ses os au détour de trop d’allées éclaboussées de violences. Enfant misère, fils de personne, il n’y avait que son oncle et les autres gamins de la lutte pour lui permettre de ne pas crever de faim. Aujourd’hui encore, Khalil ne possède rien à son nom, ni honte ni regrets, à peine plus que les oripeaux d’espoirs défaits. À peine plus que quelques ozilles dont il se défait sans compter pour voir fleurir des sourires dans les regards. Orientation & statut La cage thoracique à peine plus que geôle pour la bête chétive en ses murs, le buste c’est fait charnier de ces embruns sans mer. Temple érigé en l’honneur d’une absence défaite du nom, du verbe, il fallut de nombreuses années à Khalil pour comprendre que la bâtisse de son être était vouée à le garder prisonnier et non lui permettre de voler. Enfant d’un amour secret, devenu lui-même labeur sous les affres de la vérité, il ne sait comment aimer son reflet quand il peine même à le reconnaître. Il ne sait comment aimer l’autre quand il peine à savoir qui il est. À quoi bon se donner quand de ces fragments épars la personne en face n’aura de cesse de contempler ses éclats? De cesse de contempler ces espaces du vide que rien ne saura combler? L’organe paralytique pourtant s’échine et bat, souffre fièvre en son être quand de cette éclipse perpétuelle elle rêve arracher l’éclat d’une lueur. Épris de cœur sans visages, du néant de ces songes se faisant rivière pour rejoindre l’océan, il ne connut de l’amour que l’émoi ( célibataire ). De ces courbes se faisant falaises, le brûlant de leurs prunelles se faisant genèse de trop de passions, c’est au feu de ces corps duals qu’il s’immola dans l’espoir de faire d’une cage thoracique étranger les fondations d’un foyer( pansexuel ). Métier Échoué à Astragan il y a de cela presque une année, Khalil est devenu main-d’oeuvre bon marché pour la distillerie Brigmore de par sa jeunesse et son manque d’expérience. Au fil des mois, il sut se rendre utile assez que pour récemment devenir apprenti distillateur. Un rôle qui lui permet de laisser ses oreilles traîner en toutes directions tandis que son travail lui offre plus de liberté qu’il ne lui en faut. Localisation Astragan, Port d’attache d’un oiseau sans ciel, l’échine terrassée par trop de transhumances, l’étendue de son existence tient à même cette besace qu’il trimbale partout où le Collectif daigne l’envoyer. Faction Le mépris est encre qui souille la carne, les langues tachées de ce dégoût qui hante l’enfant depuis ses plus jeunes années. Épris des libertés de l’âme, des indépendances de la pensée, l’Ashkan est furibond face à leurs oppressions voilées. Oppressions habillées des soies de leur haine, l’ourlet de leur peine incapable de justifier l’incarnat souillant les chairs dénudées. Il n’est qu’en la vie que le presque homme croit et sa neutralité il l’exhibe à même la face visible de son cœur. A même la fureur sereine en son regardant, les valeurs le guidant l’empêchant de ployer sous le poids de leurs dogmes. Gang La carne est sacrificielle quand le coeur est supplicié, quand le coeur est mutilé à force de saigner les nues. À force de se rêver engeance des astres pour justifier le mal porté au temple d’une chair exsangue. Enfant désastre abandonné à la nuit, c’est l’opalescente mère qui de sa poigne mortifère sema les graines de minuit à même la carne du bambin. Plein de cette fureur de vivre se faisant trop aisément carmin, Khalil préféra se conjuguer soleil quand il avait les poumons débordant de pluie. Préféré courir après le vent quand hors de ses yeux l’océan de sa peine refusait de gicler de la plaie en son âme. Débonnaire Ami de Minuit, il fut sauvé un jour par le Collectif ayant tant de fois façonné les landes de son identité. Trouva bravoure à contempler une cause lui rappelant pourquoi il en était venu à exister. Passeur tranquille flirtant avec le vide sous ses pieds, il attend son heure impatiemment, loup foudroyant de trop de jeunesse inconsciente forcé d’écouter ses aînés. Croyances Ni Dieu ni Maître et pourtant résonne en son buste les cantiques oubliés d’une foi immémoriale. Le cierge de la mémoire brûle à l’envers de ses prunelles, les syllabes chutant hors des lippes de son oncle pour venir se loger à même ses côtes. Le poids d’une histoire étant sienne par déshérence, par tribut de souffrance. Enfant doucereusement impressionnable, il n’oublia jamais les fables contées autrefois à la lueur des bougies. La révérence nichée dans la voix, la dévotion dégoulinant des prunelles tandis que l’océan enjoignait ses enfants à retrouver l’iode de leur foyer. Le culte des Aevhen vécu comme une évidence, comme l’unique réponse opposée au poids de l’absence, douloureuse différence l’empêchant à jamais d’appartenir ni aux uns ni aux autres. Caractère Hardi, docile, solaire, distrait, bienveillant, discret, émotif, combatif, impatient, débonnaire, engagé, mystérieux, enragé, honnête, ambivalent, secret, indépendant, opiniâtre, loyal, immature, persévérant, instable, rêveur, paresseux, rusé, sanguin, sensible, éloquent, ingénu, résilient.


— darkest thoughts —


As-tu conscience d'être né hybride et si oui, comment le vis-tu ? Balafre portée tel l’étendard de l’être, plus que d’une évidence, ce savoir porte l’implacable cruauté du néant l’ayant éduqué. Les années ont passées, mais jamais l’enfant n’oublia le filet ténu de la voix de son oncle. Les syllabes trébuchantes hors de ses lippes tandis qu’il contait l’histoire de leur famille révolue. Parfois plus fae qu’il n’était humain, Solal souffrait de ne jamais pouvoir parler de sa mère. De ne jamais connaître que les exploits de son père. La courbe de ce sourire débonnaire dont il sembla hérité, cette fougue plein le regard d’yeux souffrant la mauvaise couleur. Il écoutait le gamin. Il écoutait au point de régurgiter l’océan de ces mots, au point de ne plus avoir de place pour rien d’autre en son poitrail. Pourtant, à jamais imperméable à la haine de ses aînés, au dégoût dégoulinant invariablement des lippes de l’oncle héroïque, il ne découvrit jamais les rivières de ces hontes censées le délaver. Ne connut jamais que la balafre amère d’une vie placée sous le sceau d’un secret. Créature souffrant son hybris inconsciente, l’Ashkan révère les êtres de son étoffe. Il loue la fragilité de leur nature et la force de leur volonté quand bien même il ne peut révoquer des années de persécution internalisée. Les années de silence nouant sa trachée à vivre un mensonge lui lacérant l’échine. Il ne peut ignorer l’écho de ces paroles adressées au monde gravé en sa chair. L’écho de leur rage trouvant destinataire en son buste quand bien même il crachait ses mensonges les crocs serrés. Tout le monde s’inquiète de l’âme de ceux ayant commis pécher, mais personne ne souhaite sauver l’acte condamné. Son existence à peine plus que séquelle de l’amour, il est son plus douloureux secret.

Est-ce que tu as hérité de pouvoirs, se sont-ils déjà manifestés ? Quel est ton avis sur la magie ?  
Funambule promise à la chute, Icare s’était rompu les ailes pour moins que ça. Pour tellement plus. L’or du jour un tribut bien moins lourd à porter que celui des miasmes fiévreux des ruelles. À jamais gravé en sa mémoire repose le souvenir de l’enfant envolée. L’enfant arrachée au ciel pour venir goûter le bitume, venir gerber les graviers lui emplissant la trachée. Quel sort plus injuste que celui de convoiter le ciel un instant pour faire un pas de côté, implorer les flots de vous enlacer et ne trouver sous ses doigts plus que des fragments de soi envolé? Puis le rire gras, l’éclat ténébreux du tonnerre en la cage thoracique du juré. Du bourreau. La main salie par l’acte indifférente au sang dont elle ne pourra jamais tout à fait se défaire. L’homme rougeoyant de fierté à voir le corps désarticulé de la poupée l’ayant outragée prêt à fleurir les germes de la haine qu’il sema là. La houle plein les lèvres, le ressac faisant ployer son être, il n’y avait que rage en son regard, que dégoût pour l’hideur de l’acte posé. Le gamin avait oublié son nom, oublié tous les noms qu’il avait un jour portés. Prisonnier hors du temps, à frôler les astres il était voué à finir immolé. La main de son oncle arrêtée à même sa trachée, la bête n’était plus que fureur, grondant, mordant la main de son agresseur dans l’espoir de se libérer. Dans l’espoir de se cramer les rétines à voir le sang versé sur le pavé. À contempler fureur et à jamais en finir changé. Ces mains qui cajolent, ces mains qui enlacent, ces mains qui rattrapent, ces mains qui menacent. Ces mains qu’il avait connues toute sa vie, ces mains qui lui avaient tout promis. Ces mains gangrenées par la haine, par une peine que les années ne pouvaient éponger. Ces mains qui maintinrent sa tête sous l’eau jusqu’à l’anoxie, jusqu’à la terreur qui ne quitte jamais le pavé peu importe les assauts incessants d’un océan inconstant dilacérant le ciel.
Véritable prolongation de lui-même pourtant placée sous une omerta permanente, Khalil pensa longuement avoir été dépouillé de ces dons du ciel par un ironique coup du sort. Pourtant, forcé de contempler ce que tous qualifièrent d’accident, quelque chose changea à même l’étoffe de l’enfant. Malgré tout, ce ne sera que des jours plus tard, forçant son neveu au joug de la terreur que son oncle parvint finalement à combler le puzzle de son existence. A combler les espaces lacunaires de l’absence, trouvant toujours plus de son frère en ce gamin qu’il avait élevé comme le sien. Et au presque homme de se découvrir autre, à jamais déchiré entre terre et mer, océan et ciel. Depuis lors, il porte en lui le souvenir d'une autre vie, d'un autre fae. Soigneusement placé à même le temple de sa mémoire, il loue ces talents inconstants et l'aisance avec laquelle ils le font se sentir proche de son père.

Ta vie a-t-elle déjà été en danger à cause de ta nature, ou redouterais-tu qu'elle le soit ? La route pour unique bastion de sa solitude, son corps jamais plus qu’une arrière-pensée, il ne put jamais se défaire des sutures à ses lèvres. L’aiguille dansant parfois encore en sa bouche quand se rappellent à sa mémoire les actes manqués. Les aveux spoliés de leur tendresse à toujours s’esquiver. Spectre hantant les murs de son propre temple, l’hybride n’apprit jamais à croire en autrui. Désarmé face à son oncle, sa rage, son opprobre, il ne peut arracher à la prison de ses songes ses apprentissages furieux. Ne peut ignorer ses avertissements et cette bête en son buste prête à ronger ses poignets pour enfin s’arracher à ses chaînes. L’histoire à peine plus qu’une missive oubliée, réécrite au détour de trop d’années, il en oublie parfois qui il est. Ce qu’il aime. Où il est allé. Touriste en sa propre existence, il est voué à oublier les murs de la maison qu’il hante. Voué à oublier les gens qu’il a croisés, leur souvenir à peine plus que cicatrice au détour de ses lignes. Pourtant, l’enfance encore fragile, il croisa une fae, passante alanguie l’arrachant à l’horreur du défilé des étales tentatrices. D’un regard sur ses oreilles arrondies, un regard jeté au fae plaçant une main protectrice sur l’épaule du gamin, elle sut plus que ce qu’ils ne pouvaient avouer. Depuis lors, gravé à l’envers de ses prunelles arides, son oncle tatoua la peur de l’autre jusqu’au profond de ses pensées les plus secrètes. Forcés à la fuite dès que le monde s’approchait trop près de leurs nuques, qu’ils sentaient les halètements infernaux des clébards prêts à les dévorer, le gamin à plus de cicatrices qu’il n’en faut pour raviver en sa mémoire l’ignominie de son être. Aveux involontaires d’un gamin incapable de se contrôler, la chair s’est faite gardienne de sa mémoire pour que jamais il n’ose à nouveau tenter le destin. Depuis lors, ils préférèrent l’anonymat de la route à la peur d’être débusquée. De port en port, de mains en mains, ils ne s’attardèrent jamais plus qu’il ne le fallait et on depuis longtemps oubliés la saveur d’un foyer.

As-tu rejoint une faction ? Si oui, à quel point es-tu impliqué dans la défense de votre cause ? Ardent amant des libertés, enfant-soleil refusant d’abandonner le ciel, Khalil ne cessa jamais de croire en ces futurs sans opposés. Ces futurs sans condition, sans distinctions de l’être, du paraître et du devenir. Le cœur en nage de voir les rages maculer le pavé, l’Ashkan réfute ces idéaux écornés qu’on vend à la criée. Le poids de ces haines camouflées derrière des paroles dénuées d’âme. Neutre en ces violences superflues, il pose sa pierre à l’édifice en aidant où il peut. En faisant ce qu’il considère juste à vivre aux faveurs de la sorgue pour se donner jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien à prendre.

— HYBRID COURT —


Pouvoir primaire E A U, NIVEAU 2. Embruns et écumes plein le coeur, c’est le ressac qui lèche les frontières de son être depuis aussi loin qu’il s’en souvienne. Quelque chose de l’océan dans les mots de son oncle, en son regard. Quelque chose de ces étendues défaites apportant une clarté toute particulière à l’enfant arraché à son empire céruléen. La découverte est traumatique et pourtant salvatrice en sa douceur. Quelque chose de beau dans la crasse du jour, dans le sale des faubourgs dont il est le prisonnier. Son lien à l’élément est apparu comme une évidence, pareille au talisman convoité d’une autre vie. Les larmes pendues à ses doigts, l’orchestre discret de sa maîtrise fiévreusement affûte au fil d’années d’un apprentissage punitif l’ayant fait silencieux pugiliste de l’élément. Pourtant, au cœur que la quiétude d’une rivière bordée par la crue, il est un océan d’orage attendant l’embellie. Délicate conclusion du ravage prête à accueillir les naufragés en ses profondeurs tranquilles. Pouvoir secondaire P E R S U A S I O N, NIVEAU 1. L’art bien trop subtil d’une pratique n’évoquant que dégoût en sa trachée. A voir son oncle en user avec bien trop d’aisance, les esprits ployant sous sa maîtrise de la lexie, Khalil apprit très vite à ne croire aucune parole. Rebuté par l’apprentissage, par l’essence même de ce don, le gamin se borna à n’en découvrir que le galbe. A n’en frôler que la surface par peur de s’y noyer. Contraire à ses valeurs, il se refuse à l’employer sur autrui bien que son charme soit indéniable. Bien que les vagues entre ses lèvres soient inévitables quand bien même le flot de ses mots souffre césure apoplectique, il fut gracié du laurier de l’été.
Secret Tandis que son oncle espérait faire de Khalil une arme, le poing armé d’une vengeance orientée vers l’univers, l’enfant ne tenait de la mer que sa délicate fragilité. Refusant son être au fruit de ces violences faisant nuit en tout être, il se plia à l’enseignement spartiate du fae pour faire de ses poings ces mains tendues vouées à protéger. Pour n’avoir jamais à faire couler le carmin en camouflant si bien sa nature qu’on ne viendrait jamais à le questionner. L’omerta est implacable à même sa trachée, le fil des secrets de son être soigneusement enfermé au plus profond de son buste pour que jamais il ne puisse voir la lumière du jour. L’hybride ne se sert que peu de ses dons, leur pratique destinée à ces portes closes sous l’égide de la lune. L’essence même de sa nature réprimée au plus profond de sa personne, il apprit au détour de ses erreurs le prix d’un écart de conduite. Les départs précipités, les regards arrêtés sur ses mains brisées par le poids de ces mensonges giclant de la plaie. La main de son oncle toujours posée à même sa nuque, le traînant où qu’il faille pour échapper à leur passé. Le silence est si lourd en ses lèvres qu’il sent encore parfois les sutures placées là se défaire au détour de trop de secrets.



— all your secrets —


i am afraid to touch
anyone who might stay
long enough to make leaving
an echo  



14/07/1049 Naissance placée sous des astres contraires, il est fruit d’un amour adultère. D’un amour utopique voué à la fuite. Ses premiers instants couronnés par la grâce et l’éclat de sentiments immaculés voué à s’éteindre sous le joug de la haine.  24/07/1049 Partent en fumée ces espoirs condamnés, passagers clandestins d’un amour écrasé par l’opprobre de sa nature, ils l’ont fait roi de leurs rêves sans se soucier du prix de leur hérésie. La bâtisse rongée par les flammes devint le sépulcre de leur révolution amère, la famille maternelle érigeant au brûlant de leur infamie le mausolée infernal de ce qui ne pouvait être. Le corps arraché aux flammes, au bagne d’une existence maudite, sa couronne n’est que cendres quand on força son corps gracile à une naissance nouvelle. Marqué par leur violence, l’urgence, restera jamais gravé à sa mémoire le sceau de leur absence. Le prix de leur inconscience une brûlure lacérant le membre inférieur droit, la main glacée du destin imprégnant sa carne du dégoût le délavant tandis que son oncle l’arrachait au brasier.  28/07/1049 Le corps écrasé par l’urgence de cette fuite vers l’avant, c’est le faciès coincé dans le col de son oncle qu’il devint éternel clandestin. Égaré accepté par la virulence des flots, le duo improbable s’échoue à même la barque miraculée du Beshara dans l’espoir de trouver un port où reposer leurs os glacés par la réalité des derniers jours. Abandonnant au gré de l’horizon Azracca, c’est une vie qui s’éteint au fil de l’oubli forcé à même son échine tel le suaire des rêves enfantés par ses parents.  15/08/1049 S’en suivirent les transhumances morcelées d’un fae et de son fardeau. Un gamin à jamais camouflé dans les pans de sa tenue, le faciès caché au monde de peur d’en découvrir l’horreur de sa nature. Les flots le firent miraculé, la fuite le fit esseulé, triste gamin n’ayant d’origine que l’azur céruléen auquel on arracha son être. La violence n’était pas neuve, l’errance jamais tout à fait nouvelle, l’encre de la sorgue ceignant son front de sa tendresse quand le moindre de ses soupirs était un affront fait à l’univers. Dépouillé de son histoire, le scalpel pleurait le sang de ses rêves d’enfant à performer une chirurgie nocturne. Au détour des sutures, de ses côtes délacées pour en ausculter le battant, on lui arracha son nom, les germes solaires de sa nation. Devenu anonyme sous les mains mortifères du Collectif de Minuit, la mémoire n’était pas neuve et la souffrance n’était point nouvelle. Cependant, l’astre n’avait de cesse d’illuminer le ciel, les ombres de se rompre sous le joug de cet empire aux lueurs mordorées. Demain était un autre jour et si hier n’avait toujours pas été vaincu, il restait un futur à conquérir. 04/10/1052 Impétueux touriste d’une histoire en constante réécriture, il titube de gloires incertaines en erreurs débilitantes, forcé à jamais de ne pas savoir tout à fait en quels endroits il abandonne toujours plus de lui-même. Le corps forcé à la lutte, la main reposant dans celle de son oncle, il traîne en son sillage comme une étoile filante implorant les astres de le laisser chuter. Les villes défilent tandis que l’enfant apprend seulement à parler. Seulement à mentir, jamais tout à fait certain de qui il lui faut être pour exister. 22/06/1054 Le cœur obsédé par les lueurs de ce qu’il ne peut posséder, les haillons couvrant son échine peinant à camoufler sa fureur de vivre, les jours sont fauves et les nuits sont carmins. Coule hors de ses songes les paysages oubliés d’un autre destin tandis que sa main s’arrête sur l’objet interdit. Les yeux s’attardent sur son échine, le tissu couvrant péniblement son crâne tandis que la foule n’est que houle à gronder plus fort que le tonnerre. Elle est céleste la déité. Impétueuse au fil d’une beauté artificielle l’empêchant de détourner le regard. Passante égarée à même ses prunelles hagardes, il ne comprend pas la peur dans les yeux de son oncle tandis que ces mains étrangères replacent soigneusement les mèches égarées hors de son bonnet, ses esgourdes indomptables exhibant leur courbe. Au détour d’un sourire, l’enfant se prend à croire un peu plus que le ciel abandonna un peu de ses lueurs à même le buste des êtres foulant la terre de leurs pas. 08/1056 Recraché par l’océan à même les récifs acérés d’Oceara, l’enfant se voit renaître au tranchant des horizons de la péninsule. Voué à l’hideur de leurs songes imprégnés de carmin, il peine à exister en leurs prunelles suintant glace. Pourtant, l’échine brisée par le poids du monde, il contemple les graviers sous ses pieds, la suie collant à ses talons. Les crocs fermés sur les indifférences cachant violence, il gronde l’enfant. Il inonde les marchés de sa rancune à contempler l’interdit et s’en trouer les poches de larcins mineurs en folies douloureuses. C’est comme ça qu’elle le trouve, la gamine, l’ébène lui cernant les prunelles, les doigts consumés d’avoir souhaité voler le ciel. Enfant inlassablement arraché aux flammes de sa déraison, elle lui offrit une seconde chance et lui ne pouvait pas même lui donner son nom. Sina, un mensonge étrange qui coule hors de ses lippes fendues. Une prière vaine à l’égard de cette inconnue dont il avait déjà dérobé le sourire. Des années plus tard il ne saurait toujours pas comment conjuguer leur rencontre, comme conjurer son souvenir. Kimiko l’avait si aisément arraché à sa solitude, traînant dans son sillage le gamin comme une étoile filante précieusement prisonnière de ses doigts. Avait si soigneusement délié le nœud en son poitrail qu’il en oublia un instant ce que ça signifiait d’être seul.  08/1056 - 02/1060 Une seconde durant l’enfant festoie à même les bourgeons d’un été qui refuse de s’éteindre. Les mois défilent et lui s’effiloche à s’inventer tantôt chasseur d’étoiles, dompteur de chimères, gamin en escale d’une destinée légendaire. Les mots dégoulinent de ses lippes pleines de la sorgue tandis qu’il leur parle de ces contrées dont on ne revient jamais pleinement, de ces rêves si ardents qu’il est impossible de s’adonner à vivre une fois leur joug découvert. Spectre apprenant à vivre dans l’ombre de Kimiko, Sina s’éprend de la rage de ses ainés, s’éprend de ces fables qu’il leur conte pour justifier exister. À suivre Zuko à même les boyaux de leur quartier, à s’user les phalanges contre tous les murs à portée pour prétendre d’un cri faire plus que survivre. À écouter Ozai marchant sur un fil, flirtant avec le vide pour comprendre qu’à protéger ce que l’on aime on ne meurt jamais tout à fait. Le temps effiloché entre ses doigts, le mépris de son oncle pour ces enfants de la misère incapable d’amoindrir leur éclat, il aurait du savoir que rien en ce monde n’était fait pour durer. Ainsi, sans un bruit, le printemps de son existence sombra sous les assauts du silence. Sous les vagues de cette amertume lui faisant boire la tasse tandis qu’Ozai parlait avec ferveur de l’Ordre des Cendres. La première plaie fut la plus profonde, le dégoût inondant ses bronches puisqu’à jouer à la perfection son rôle le gamin ne pouvait admettre la mélancolie venue tacher son carmin. Secret défait de substance, il ployait l’échine face à ces souhaits aveugles imposés à ses doigts comme des vagues de promesses qu’il ne pouvait délier. À bâtir le futur sur ces fondations branlantes, il aurait dû percevoir dans les prunelles de son amie les eaux venues ronger son cruor. Aurait dû découvrir au détour de ses sourires ces flétrissures qui finiraient par la laisser de glace. Comme tant de choses le feraient en sa vie, Kimiko s’évapora. Puis Zuko lui fila à son tour entre les doigts. Furent alors à nouveau forcées à son front la couronne et les épines de ces solitudes immondes. À la lisière du jour, à peine plus que l’anonymat en sa besace, Sina abandonna son nom, une nouvelle histoire pour retourner d’où il était venu. Reprit la route par crainte de s’être perdu.  08/07/1061 Décès d’une enfant anonyme, jeune gamine le corps mutilé par une chute que la vie refusa de lui épargner. Quand bien même l’enfant ne la vit qu’un instant, son regard brûla l’homme ayant provoqué l’accident. L’accident, l’ a c c i d e n t , un mot qui viendra le hanter.  11/07/1061 Peut-être le songe-t-il âgé assez? Peut-être a-t-il assez attendu? Peut-être découvrit-il le long de la blessure le vernis écaillé de son existence prêt à dévoiler l’envers de sa personne? Naser ne savait pas. Ne se souvenait pas du regard de son oncle tandis qu’il mordait la main de ce dernier pour s’approcher au plus près du corps sans vie. Ne se souvenait pas la façon dont la marée de son regard s’était soulevé, ni comment un instant durant le fae s’était presque senti emporté par le pouvoir de ses mots. L’eau entrant en sa trachée, l’air venant à lui manquer, il n’était qu’effroi dans le regard du gamin. N’était qu’amertume dans le regard de celui qui voyait la seule personne en qui il avait jamais compté le trahir de la sorte. Les années passeront et comme toutes les blessures celle-là finira aussi par se refermer. Pourtant, reste à l’envers du myocarde la flétrissure abandonnée là par le fae prêt à tout pour trouver un peu de lui à même un gamin désespéré. 1061 - 1068 La route pour seule mère, souffrant à peine escale au fil de ces transhumances imposées, il est tant de choses que Khalil oublia au fil des années. À commencer par son nom. À finir par toutes ces vies qu’il lui fallut inhumer. 11/1070 La plainte coincée entre les lippes du fae était toujours la même, refus sommaire brisant ses rêves à même le récif de leur quotidien. Pourtant, au fil des années, sa rage avait prise de l’âge et ses aspirations n’avaient pas changé. Au gré des sacrements de ce silence porté comme une seconde peau, il rencontra un ami de minuit, commençant son long pèlerinage à l'ombre de son aîné vers un semblant de clarté. 11/1071 Une année durant il suivit l’ami l’ayant arraché aux affres de la nuit. Réalisa sans broncher les plus sommaires des tâches, découvrant les plaies de l’immobilité à ne pouvoir s’envoler une fois le larcin posé. Une année passée à écouter, attendre, n’être utile que quand on lui imposait. Souffrant l’opposé de sa nature, il rongea jusqu’à ses mains dans l’espoir d’enfin trouver valeur aux yeux du Collectif, ses pensées se faisant oiseaux sans ailes quand on le voulait figé. Jusqu’à ce que roule entre ses doigts le fruit de son labeur, le symbole de tout ce en quoi il croyait. Le symbole trompeur signifiant qu’il appartenait à quelque chose de plus grand que sa personne quand bien même il ne savait toujours pas qui il était. 15/03/1072 Arrivée à Astragan pour le compte du Collectif. Une nouvelle vie, une nouvelle fois. La même amertume souffrant trop d'actes manqués, trop de chances souillées à toujours recommencer.

prodigal son L’être à jamais conjugué au passé de ces devenirs avortés, il n’est que le temple d’une mémoire parjuré pour contempler les erreurs d’autrefois. De ces lettres de noblesse faites doléances, il n’est que son reflet pour encore saigner le contour de ce nom mort entre leurs lèvres devenues cendres. Solal, le sel accroché à ses lippes d’une mer se refusant à lui gicler hors des prunelles. L’écho désaccordé d’un immémorial bonheur ayant à jamais filé entre ses doigts. Secret soigneusement conservé entre ses lippes scellées, il porte en son buste les reliques d’une vie qu’on lui refusa. Emploie le contour de ces syllabes maudites tel un talisman voué à éclairer l’obscurité absconse d’une existence condamnée. Le dernier fragment de ce qu’il fut réellement. L’acte est stérile, le costume s’avère toujours trop étroit, pourtant, pendu à un fil, le gamin s’exécute avec grâce. Porte l’atour avec maladresse, s’écorchant les coudes face à la rigidité de son habit, la vanité de ces jeux où sont trop violemment impliqués mort et vie. Le charnier de sa carne arbore tristement les tombes de tous ces fragments de sa personne. Les fleurs de sa jeunesse fanée au détour de trop de secrets que pour encore savoir comment se défaire de son fiel. Le masque forcé à même ses traits, la main de son oncle tordant son faciès en la caricature d’une chimère horrifique, il arbora difficilement trop de noms que pour en retenir la saveur. Trop d’identités que pour ne pas finir sans couleur. Le regard un peu plus vide à chaque ville qu’ils quittaient, chaque histoire avortée avant même d’être vécue, il entend encore parfois le cri de ces vies demandant à être vécue. Les hurlements monstrueux de ces bêtes labourant sa carne, la mort en leurs yeux quand s’éteint doucement l’insouciance d’autrefois.  stammering life Enfant à fleur de peau, le nerf à vif de ces mots inhumé à même un mausolée rongé par les flammes, il s’écorchait la langue au détour du tranchant de leurs syllabes. De ces phonèmes trébuchants, ces répétitions qui lui dilacérait alors le buste trop étroit pour ce champ de lexies maudites, il finit amputé du verbe de longues années durant. Aphérèse identitaire, ablation involontaire d’un passé trop lourd à verbaliser, l’apocope du coeur le laissa à jamais balafré par ces mots à peine effleurés. Ces mots à peine arrachés à ses lippes tant il souffrait à ne savoir les prononcer correctement. Souffrant ces répétitions damnées, ce bégaiement maudit, on s’attendrissait face à sa logorrhée à peine plus que fureur, ses diatribes écorchées par une langueur faisant imprononçable le brûlant de ses pensées. L’écume plein la trachée, incapable de garder le ressac à même ses crocs, il grondait de ne pouvoir contrôler ces morphèmes égarés hors de ses lippes. Enrageait à hurler au silence l'écho d'une plainte sans jamais avoir trouvé sa voix. Aphone involontaire, solaire condamné par ces vagues indomptables pleines de syllabes, parfois encore sous le fléau de ses émotions le marin se perd au gré de leurs eaux sombres. Il trébuche et chute contre leurs récifs acérés, les falaises de sa parole à jamais meurtrière pour un enfant que le monde refusa toujours d’écouter. psithurism Chimère plus qu’homme. Souvenir plus qu’enfant. C’est la mémoire à peine plus qu’une mosaïque imbibée de trop de carmin qu’il tente de recomposer le fil d’une histoire éprise de la lame du temps. Le shiv fiévreusement coincé entre les côtes, enlaçant la lame comme un passé revenu d’un au-delà fébrile, il s’étonne de saigner à même le pavé de ces villes ignorant son nom. Solaire entité, bercée par les rayons de l’opalescente, il fit de l’ébène son habit, fit de l’oubli sa vie. Forgeant une odyssée personnelle du bout de ses ongles, il n’est que tragédie pour se mêler à son ichor. Que fantasmagoriques légendes pour égayer un passé fait néant. Pour tout parent ces transhumances l’ayant fait blêmes, l’enfant choisit de se faire lueur quand on le condamna à la nuit. S’inventant tantôt chasseur d’étoiles, à jamais rêveur incandescent, ses lèvres s’éprirent de tant de bons sentiments que même ses mensonges avaient la douceur des aveux. Attendrissant défaut d’un homme douloureusement secret, nombreux sont ceux à apprécier les couleurs de ses fables imaginaires. À jamais héros souffrant tribulation, Khalil ne connaît que trop bien la fin du voyage. Conserve entre ses crocs le suc d’un nouveau jour, l’éclat d’un myocarde refusant de céder aux assauts de leurs désespérances.  hamartia Pont lacéré entre terre et mer, c’est le ciel qui se rêve rivière quand le printemps se meurt au gré des assauts de l’hiver. C’est les fleurs de la haine qui se font chrysanthèmes en sa trachée, se refusant à fleurir la tombe de ses parents. Jamais assez immaculé, pourtant défait de la fange collant à ses talons, il est enfant du mépris. Enfant de ces peines se conjuguant violence, héritier d’une vie se refusant à disparaître quand pourtant tous conjurent les bourgeons de son absence. Ceint sa crinière les rayons d’un astre incandescent, le baiser rougeoyant d’une saison refusant de s’éteindre au gré des désespérances. Hybride défait de nation, d’origines, il rêve d’un jour convoiter la cime de l’univers pour en observer le contour. Pour en découvrir l’étoffe et à s’inventer couturier suturer un bout de ciel et de terre pour créer un foyer destiné à ceux que le monde abandonna comme lui avait été abandonné. wanderlust Souffrant le fil de ses mots trop souvent trompeurs, le gamin prit le pli de refaire le monde du bout de ses doigts. Les cendres de sa jeunesse pour toute encre, il laissa au détour des villes qu’il avait traversées les fragments de sa douceur. À peine plus que quelques traits sur du papier, le carmin hurlant contre un mur abandonné, il se perdait de courbes en lignes au point de tout oublier. Les portraits sont sommaires, dégoulinent trop souvent de sentiments, pourtant l’homme ne peut se défaire du tourment de ces pages enneigées. Le manuscrit est une relique, précieux artéfact d’une mémoire autrement lacunaire par temps de clarté, le galbe d’un sourire le dernier vestige de ceux qu’il a pu croiser. forsaken scars La carne à peine plus que missive destinée aux astres, c’est la chair vendue aux enchères de ces lueurs sans clartés qu’il se consuma. Rémanence perpétuelle d’un passé qu’il ne peut fuir, jamais ne peut échapper à sa mémoire le souvenir des flammes. L’odeur de cendre agrippée à son être comme une maladie dont il ne peut se défaire quand tout en lui est feu. Terrifié par la saveur du manque, de cet élément indomptable l’ayant autrefois brisé, il ne peut ignorer la marque rougeoyante auréolant sa jambe droite. Ne peut prétendre être immobile lorsque sont boutés les feux des résistances stériles, la moindre lueur d’espoir incandescent fracassant en son buste la bête assoupie. Au fil des années, prétendant se souvenir exister, Khalil prit trop souvent l’habitude de presser ses os à même des espaces trop étroits. Se rompit l’échine à vouloir être moins qu’il n’était, son corps bouffant le bitume après une course poursuite inconsciente. La violence du pavé matraquée à même sa colonne vertébrale quand l’enfant découvert était sacrifié à la criée avant que l’oncle salvateur ne l’arrache aux flammes d’un nouveau brasier. Plus que ces marques, ces cicatrices arborées comme les lignes d’une histoire dont il ne se souvient pas tout à fait, reste gravée à sa mémoire la route. Le poids des doutes fauchant toutes les transhumances et ces kilomètres avalés jusqu’à en dégueuler l’errance de tout part. Jusqu’à en régurgiter la violence de ces faux départs, ces espoirs manqués, ces cicatrices portées à même le cœur, le cruor à jamais marqué d’or et de regrets.






PSEUDO fatal flaw, obsessive utilisatrice du frenglish. personnage inventé. stalkage bazzart my one and only friend.  i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 3439411778  défis totalement, trop hâte de savoir de quoi il va en retourner! i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 4278612319  mot d'adieu , suggestions, smiley fav, couleur de ta culotte, prénom de ton animal de compagnie. (oui on est curieux) crédits velaris (avatar), rino stefano tagliafierro (a réalisé une vidéo d'oeuvres célèbres animées dont sont tirés les gifs)




Dernière édition par Khalil Ashkan le Mar 5 Mai - 17:03, édité 16 fois
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Cressida Havilliard

Cressida Havilliard

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Ombre : Lysander Erskine & Hjørdis Østberg
Peuple : Humain
Soupirs : 32 ANS. Trois décennies passées dans l’indifférence. Les hivers se succèdent et se ressemblent comme une danse inarrêtable. Le visage change, le cœur s’ fait plus dur. L’âme reste immuable.
Maîtrise : lyrium (niveau 2)
armes blanches (niveau 2)
armes à feu (niveau 2)
corps à corps (niveau 1)
défense (niveau 1)
Affect : A MARIER. Comme une épée de Damoclès qui se fait chaque jour un peu plus lourde. L’espoir qu’on ne se servira pas de toi pour renforcer quelconque alliance est futile. Bien que réconfortant. HOMOSEXUELLE. Refus d’accepter la vérité. Secret enfouit profondément. Incapacité certaine à le nommer. Et quand tu te laisses aller à ces étreintes interdites, elles brûlent ta peau de honte.
Métier : INGÉNIEURE. La curiosité pour défaut comme pour qualité. L’envie irrépressible de comprendre le fonctionnement des objets les plus compliqués. Passion pour les mécanismes et autres machineries. Une volonté de défendre l’humanité. Une ingéniosité à toute épreuve. Si la route fut longue, tu t’épanouis au ministère de la défense.
Faction : ORDRE DES CENDRES, par défaut. Le choix n’a jamais vraiment été donné. L’héritage n’a pu être renié.
Errance : ASTRAGAN.
Inventaire : Kit Médical (x2) ; Stèle
Crédits : Nast'Yan (avatar) Astra (code sign) Valruna (icones sign)

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Arabella Nazarova

Arabella Nazarova

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Peuple : human empire.
Soupirs : / THIRTY-THREE / l’ivoire est strié d’un triptyque monstrueux, estampillé d’un numéro atomique d’arsenic, toxine suppurant dans les veines d’une chérubine vérolée par le tempo effervescent du temps.
Maîtrise : LYRIUM / niveau 4
ARMES BLANCHES / niveau 4
ARMES À FEU / niveau 4
CORPS À CORPS / niveau 4
DÉFENSE / niveau 4
Affect : / BLACK WIDOW / son amour est sacrificiel, nacré d’un morbide qu’elle fait éclore à la chaleur de ses pulpeuses infusées du venin des succubes. elle les aime magnifiques, ces stèles de sa vénération. les aime flamboyants, ces adam et eve.
Métier : / CAPITAINE / connasse vipérine plutôt. le simulacre est grossier, chienne de chasse couronnée n’ayant pas même pris la peine d’essuyer ses canines de l’impureté qui arrose ses intentions. le grade n’est qu’un énième alibi pour poétiser sa violence.
Faction : / ORDRE DES CENDRES / leur or a les couleurs cendreuses d’une pénitence saccharine. si l’ordre est l’encéphale de l’hydre, l’armée la main excoriée, arabella elle est la gangrène qui dévore le ventricule cardiaque.
Gang : / MAIN ÉCARLATE /membre rapiécé au ligneul infect de la corruption. caporégime confidentiel à ce microcosme, peinturlurant les artères de nythsari d’un somptueux pourpre en son honneur.
Errance : / IZEGHAR / où la terre est perforée en son plexus solaire, libérant les miasmes souterrains jusqu’alors cloîtrés dans les poumons de ce colosse léthargique.
Inventaire : fouet / dague sifflante / grenades (2) / kit d'injection de lyrium (8 doses restantes) / fusil de recrue / kit médical (1) / balles (∞)
Crédits : valruna (av)

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j'ai pas pris le temps de suivre ton sujet en invité, mais j'regrette un peu parce que damn tu me mets l'eau à la bouche
ce début de fiche est divin, puis ce fc est BIEN BEAU
on valide le choix d'un hybride en plus
bienvenue chaton, hâte d'en lire plus i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 4094853647
(et mention spéciale à la vidéo utilisée pour les gifs, elle est divine)
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Invité

Anonymous



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pour reprendre les mots de quelqu'un : je suis la voix de la sagesse et je défends la vérité i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 2049050905 bc damn, ce début de fiche, c'est si beau et ça donne envie de tout dévorer i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 1271314810
on en veut plus, parce que là c'est criminel de nous laisser sur notre faim i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 1012609130  
bienvenue officiellement i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 12764521
(et jusqu'au bout jpp la vidéo de tagliafierro 22/20)
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Magda Volkova

Magda Volkova

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Date d'inscription : 23/04/2020
pièces d'or : 1609
Maîtrise : ténèbres ●●●●○
illusions ●●●○○
Armes blanches ●●●●○
armes à feu ○○○○○
corps à corps ●○○○○
défense ●●●○○
Inventaire : Kit du voleur, brume paralysante
Crédits : Yours truly.


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Bienvenue par ici !

Bon courage pour la rédaction de ta fiche. i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 12764521
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Invité

Anonymous



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Cette plume i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 2784105750
Bienvenue parmi nous i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 3142177554
Bon courage pour ta fiche i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 800109742
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Esben Sølvarsson

Esben Sølvarsson

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Date d'inscription : 24/04/2020
pièces d'or : 59
Peuple : Winter Court.
Soupirs : 164 ans ☆ 41 ans
Maîtrise :

★ Glace : niveau 5.
☆ Temps : niveau 3.
★ Armes blanches : niveau 4.
☆ Armes à feu : niveau 0.
★ Corps à corps : niveau 4.
☆ Défense : niveau 4.


Affect : Une ombre, parfaite copie des attentes d'un peuple. Coeur et corps qui se cherchent sans vouloir se trouver, l'ultraviolence pour tout Éros.
Métier : Combattant dans l'arène, le sang versé et les os brisés en sacrifice du divertissement salace.
Faction : Aucune.
Gang : Aucun.
Errance : Rajdah le ventre de la bête; Zeherim en purgatoire.
Inventaire : Potion de mana (x1) ☆ Kit médical (x1) ★ Capuchon discret ☆ Shiv (état neuf) ★ ((Armure Daedrique)) ★ ((Épée standard))
Crédits : Doom Days & Valruna & Astra.

Aventures :

I KNOW THERE WILL COME A DAY WHEN RED RUNS THE RIVER.
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Memory comes when memory's old 
I am never the first to know 
Following the stream up North 
Where do people like us float 

There is room in my lap 
For bruises, asses, handclaps 
I will never disappear 
For forever, I'll be here  

I'm laying down, eating snow 
My fur is hot, my tongue is cold 
On a bed of spider web 
I think of how to
change myself

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☆ Max
★ Sigrid
☆ Raj


0/3
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Bienvenue sur le forum, amuse-toi bien parmi nous i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 2784105750
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Reina Kozura

Reina Kozura

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Date d'inscription : 22/04/2020
pièces d'or : 601
Ombre : haru arai.
Peuple : humaine.
Soupirs : vingt-neuf ans, l'année des trente.
Maîtrise : lyrium (niveau 2), armes blanches (niveau 3), armes à feu (niveau 1), corps à corps (niveau 3), défense (niveau 3).
Affect : célibataire.
Métier : maître bonimenteuse, voleuse, tueuse, couteau suisse des corbacs.
Faction : neutre.
Gang : les corbeaux, saphir assignée à adenor.
Errance : principalement sur adenor (casino monte vicio, cínnerial), dans les régions de nythsari et à valréal pour les paris sportifs.
Inventaire : éventrail, mitaines du voleur, kit du voleur, kit médical (x3).
Crédits : @self.

Aventures : arabella (15, avélie 73)
alastar, thalia (19, avélie 73)
khalil (23, avélie 73)
ozai, zuko (27, avélie 73)
https://astrangegame.forumactif.com/t392-she-burned-too-bright-for-this-world https://astrangegame.forumactif.com/t436-the-art-of-life-is-letting-go

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jtm
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Ozai Toshio

Ozai Toshio

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Date d'inscription : 22/04/2020
pièces d'or : 1034
Ombre : jangsu.
Peuple : humain.
Soupirs : trente-et-une années de misère.
Maîtrise : lyrium ■■■□□
armes blanches ■■■□□
armes à feu ■■■□□
corps à corps ■■■■□
défense ■■■□□
Affect : seul, et cela est mieux ainsi.
Métier : capitaine à l'armée rouge (azracca)
Faction : ordre des cendres, bougre anti-fae, produit type de l'armée rouge.
Errance : nythsari, azracca bien qu'il se retrouve souvent ici et là-bas.
Inventaire : un fusil de recrue (+ cartouches en lyrium) — un kit d'injection (huit doses) — couteaux à lancer.
Crédits : myself

Aventures :
couleur : #993300
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holding onto a hurricane ft. elsa halström
there are things you can't forget ft. edvard thøgersen
octogone des sentiments ft. reina + zuko
to whatever end ft. edvard + genya
dig up the bones ft. arabella nazarova
brotherhood ft. zukairon

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elsa (i) - genya (i) - tc: ordre des cendres (i) - sona (x) - zuko/dalhia (x)
- neith (x)



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crédits ; tanjiro

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crédits ; arabella

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bb khalil, le lionceau i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 1911649480
j'ai tellement hâte de te lire (beh déjà ce début, cette plume; i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 3502265625)
bienvenue dans le coin surtout i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 1271314810
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Genya Lantsov

Genya Lantsov

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Date d'inscription : 18/04/2020
pièces d'or : 932
Ombre : Sigrid Madsen
Peuple : Fae, les ténèbres au bout des doigts, les rêves rivés aux prunelles
Soupirs : 132 ans, 33 ans qui s'affichent avec la désinvolture propre aux fae
Maîtrise : Ténèbres (niveau 4) - Illusions (niveau 2) - armes blanches (niveau 3) - armes à feu (niveau 0) - corps à corps (niveau 1) - défense (niveau 2)
Affect : Ses yeux ne se délectant que des silhouettes masculines, elle attend encore l'alliance qu'on lui imposera,la redoute, célibataire pour le moment.
Métier : Créativité utilisée pour améliorer les finances familiales, Architecte comme tant d'autres avant elle.
Faction : Fen'Haven
Errance : Anciennes terres de L'automne, Adénor, sa famille et elle même se sont établis à Cínnerial
Inventaire : Lames fantômes - Potion de mana x2 - épée standard - kit medical - totem d'immunité
Crédits : Ellaenys - Hellish

Aventures : i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 69d0ef8d55bff732867c2fc982b2b17433c2f539

Rp : 5/6
☾ Edvard/Ozai
☾ Tc Commun Lantsov
☾ S1E1 Adénor
☾ Thorgen
☾ Thrys
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ce début de fiche... i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 1978082491

Bienvenue à toi ! i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 2784105750
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Zuko Attah

Zuko Attah

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Date d'inscription : 16/04/2020
pièces d'or : 839
Maîtrise :
lyrium ☾ ☾ ☾ ☾
armes blanches ☾ ☾
armes à feu ☾ ☾ ☾
corps à corps ☾ ☾
défense ☾ ☾ ☾ ☾
Affect : arabella, la grande catin de nythsari
Métier : chien de guerre, lieutenant de l'armée rouge
Faction : ordre des cendres
Gang : les rats gris, ancien gang du quartier des docks
Errance : izeghar, le dernier tombeau des rois
Inventaire : fusil blaster, fusil de recrue (+ cartouches illimitées)- shivs- kit d'injection (6), kit médical (2)
Crédits : bb calla (ava)- la chonga aka arabella aka mme attah (kit)- ozai, le bro, le sang d'la veine (propaganda)- old money, la haine (sign)

Aventures :
(indisponible)

zukai, kimi / octogone des sentiments
vivi / hardcore
zukairon / brotherhood
ceci / never seek to bear everything alone
ar / let the game begin
beko / la romance arrive
thrystan / soirée tacos

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ce bb
bienvenue dans la bande i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 3880019385

et ta plume je
hâte de voir la suite i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 1363606656
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Miraz Ravenal

Miraz Ravenal

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Date d'inscription : 22/04/2020
pièces d'or : 1277
Peuple : fils de la hargne arrogante humaine, digne héritier des luttes de toujours, haine dans les veines.
Soupirs : jeunes trente deux années, regrets égarés, espoirs fanés, une lointaine nuit de noveria.
Maîtrise : lyrium [■■■■□]
armes blanches [■■□□□]
armes à feu [■■■■□]
corps à corps [■■■□□]
défense [■■■□□]
+ runes [□□□□□]
Affect : mariage scellé avec toute la foi du monde; elhara et un fragment de son coeur dans la tombe. l'épouse et les vérités qu'il esquive; l'autrefois perdu.
Métier : le grade de capitaine à astragnan tout juste hérité- la responsabilité de son frère mort qui lui retombe sur les épaules.
Faction : l'âme vouée à l'ordre des cendres depuis toujours: là est l'appartenance d'un ravenal. fils militaire engagé dans l'armée rouge depuis seize ans maintenant.
Errance : astragnan le rappelle à ses responsabilités. l'être délabré voudrait fuir sans retour.
Inventaire : fusil de recrue ▪ fusil redentor ▪ balles (normales & lyrium) ▪ (1) kit médical ▪ (7) doses au kit d'injection de lyrium.
Crédits : @alcuna licenza (avatar), tumblr (gifs), uc.

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hâte de voir tout ça i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 3926922736
bIENVENUE à toi i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 2823957770 I love you
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Invité

Anonymous



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CES CITATIONS

CE PSEUDO

CETTE GUEULE

CE DEBUT

?

meh.

promis c'est un spoiler simple:



................

fin vraiment quoi.

c'est en spoiler que tu m'aimes je le sais :


Spoiler:
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Invité

Anonymous



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Bienvenue parmi nous avec ce jeunot à peine né
Il est évident que tu sais déjà comment le tourner

(Faire des rimes, mon angoisse personnelle. AH ! Et en prime, elles ne sont même pas belles.)

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Dayana Flickermann

Dayana Flickermann

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Date d'inscription : 14/04/2020
pièces d'or : 133
Maîtrise : lyrium ★ ☆ ☆ ☆ ☆
armes blanches ☆ ☆ ☆ ☆ ☆
armes à feu ☆ ☆ ☆ ☆ ☆
corps à corps ☆ ☆ ☆ ☆ ☆
défense ☆ ☆ ☆ ☆ ☆


Crédits : self.

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Oh, j'aime beaucoup comme tu écris, c'est super agréable de te lire, c'est rempli d'images i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 709438556
Puis ce début s'annonce plus que prometteur
Où est la suite ? I need it
Bienvenue chez toi i burn, i shiver, out of this sun, into this shadow (khalil) 3605621059
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